Dans son édition spéciale, le journal la gazette de l’émérite journaliste Latif Coulibaly, il a été mis en exergue la gestion chaotique et gabégique de Bara Sady avec des largesses et pratiques aux antipodes des normes de gestion et des règles élémentaires de la transparence.
Aujourd’hui, le départ de Sady du PAD, exige la production d’un bilan de fin de mission sans complaisance et avec objectivité. Il s’agit d’apporter en tant que observateur notre opinion sur le règne de Sady au PAD durant la décennie écoulée au port ; évidemment, pas de silence, sur les réalisations faites par ce dernier et qui sont d’une grande importance pour le port de Dakar.
• Plateforme de distribution
• Extension du terminal a conteneur
• Ensema (Entrepôt sénégalais au Mali)
• Gare maritime internationale
Au demeurant, la question fondamentale qu’il faudra se poser cependant c’est de savoir à quel prix ces projets ont été réalisés ?
La réponse à cette interrogation est une exigence de bonne gouvernance dans un Etat de droit.
Osons le dire simplement, la gestion des projets de développement par Bara sady est une catastrophe, sinon, comment peut-on comprendre que les entrepôts sénégalais au Mali soient finis et inaugurés et que jusqu’à présent ils restent une grande nébuleuse dans son fond et sa forme organisationnels ?
A l’heure actuelle, rappelons que le PAD procède déjà aux remboursements du prêt contracté, à cet effet, en plus des intérêts, pour un ouvrage qui n’a produit véritablement aucune recette à ce jour.
La plateforme de distribution financée par le port par emprunt obligataire reste toujours inexploitée depuis longtemps, malgré la fin des travaux, mieux le mode d’exploitation reste toujours indéfini.
Que de manques à gagner pour le port !
Nos interrogations sont immenses !
Le môle 2 est dans la même, situation que les projets déjà cités.
Existerait-il une volonté manifeste pour Sady de privilégier ses propres intérêts ou ceux de ses amis au détriment de l’entreprise ?
Le projet de logements sociaux est une parfaite illustration de notre interrogation ; en effet la bande de terre de 7ha propriétaire du PAD reste une véritable nébuleuse que Mr Sady gère solitairement
Le règne de Mr Sady, c’est aussi 10 ans au profit de parents, neveux et de tous ses amis au détriment des compétences sûres du PAD.
Le premier a émargé au registre de l’incompétence notoire demeure incontestablement Mr Moussa Sy Chef de département de la coopération internationale et amis d’enfance de Sady.
Mr Sy ayant gravié tous les échelons jusqu’au rang de Directeur sommet de l’organigramme n’a ni compétence, ni bagage intellectuel pour occuper de telle fonction.
Cette personne est au centre de toutes les frustrations au port.
L’on peut noter au moins la promotion de tous ses neveux élevés au rang de chef de service d’une manière rocambolesque et répugnante sans oublier la nomination hâtive de sa cousine comme conseillère technique et de Monsieur Dame Mboup (natif de Kébémér et ami de Sady) Directeur des Opérations Portuaires entre les deux tours de l’élection présidentielle
Du point de vue organisationnel notons simplement que Sady a laissé au port une cacophonie inexplicable avec des directions non structurées jusqu’à présent.
En effet la refonte de l’organigramme du port entamée depuis 2010 n’est pas terminée jusque-là.
Mr Sady s’est même permis certaines décisions de nominations de responsables à la veille de son départ.
L’abrogation de plusieurs décisions empêche aujourd’hui un fonctionnement normal de plusieurs services.
Cela montre une fois de plus, la nécessité de mettre des hommes de valeurs intègres dans les sociétés nationales, et cette attitude clanique et partisane de la gestion prouvent à suffisance, ce que jean François Perroux disait sur le développement :
« C’est une combinaison de changements mentaux et sociaux ……»
Fini les viols de conscience !!!
Aujourd’hui, le départ de Sady du PAD, exige la production d’un bilan de fin de mission sans complaisance et avec objectivité. Il s’agit d’apporter en tant que observateur notre opinion sur le règne de Sady au PAD durant la décennie écoulée au port ; évidemment, pas de silence, sur les réalisations faites par ce dernier et qui sont d’une grande importance pour le port de Dakar.
• Plateforme de distribution
• Extension du terminal a conteneur
• Ensema (Entrepôt sénégalais au Mali)
• Gare maritime internationale
Au demeurant, la question fondamentale qu’il faudra se poser cependant c’est de savoir à quel prix ces projets ont été réalisés ?
La réponse à cette interrogation est une exigence de bonne gouvernance dans un Etat de droit.
Osons le dire simplement, la gestion des projets de développement par Bara sady est une catastrophe, sinon, comment peut-on comprendre que les entrepôts sénégalais au Mali soient finis et inaugurés et que jusqu’à présent ils restent une grande nébuleuse dans son fond et sa forme organisationnels ?
A l’heure actuelle, rappelons que le PAD procède déjà aux remboursements du prêt contracté, à cet effet, en plus des intérêts, pour un ouvrage qui n’a produit véritablement aucune recette à ce jour.
La plateforme de distribution financée par le port par emprunt obligataire reste toujours inexploitée depuis longtemps, malgré la fin des travaux, mieux le mode d’exploitation reste toujours indéfini.
Que de manques à gagner pour le port !
Nos interrogations sont immenses !
Le môle 2 est dans la même, situation que les projets déjà cités.
Existerait-il une volonté manifeste pour Sady de privilégier ses propres intérêts ou ceux de ses amis au détriment de l’entreprise ?
Le projet de logements sociaux est une parfaite illustration de notre interrogation ; en effet la bande de terre de 7ha propriétaire du PAD reste une véritable nébuleuse que Mr Sady gère solitairement
Le règne de Mr Sady, c’est aussi 10 ans au profit de parents, neveux et de tous ses amis au détriment des compétences sûres du PAD.
Le premier a émargé au registre de l’incompétence notoire demeure incontestablement Mr Moussa Sy Chef de département de la coopération internationale et amis d’enfance de Sady.
Mr Sy ayant gravié tous les échelons jusqu’au rang de Directeur sommet de l’organigramme n’a ni compétence, ni bagage intellectuel pour occuper de telle fonction.
Cette personne est au centre de toutes les frustrations au port.
L’on peut noter au moins la promotion de tous ses neveux élevés au rang de chef de service d’une manière rocambolesque et répugnante sans oublier la nomination hâtive de sa cousine comme conseillère technique et de Monsieur Dame Mboup (natif de Kébémér et ami de Sady) Directeur des Opérations Portuaires entre les deux tours de l’élection présidentielle
Du point de vue organisationnel notons simplement que Sady a laissé au port une cacophonie inexplicable avec des directions non structurées jusqu’à présent.
En effet la refonte de l’organigramme du port entamée depuis 2010 n’est pas terminée jusque-là.
Mr Sady s’est même permis certaines décisions de nominations de responsables à la veille de son départ.
L’abrogation de plusieurs décisions empêche aujourd’hui un fonctionnement normal de plusieurs services.
Cela montre une fois de plus, la nécessité de mettre des hommes de valeurs intègres dans les sociétés nationales, et cette attitude clanique et partisane de la gestion prouvent à suffisance, ce que jean François Perroux disait sur le développement :
« C’est une combinaison de changements mentaux et sociaux ……»
Fini les viols de conscience !!!