Selon des sources libérales, l’affaire Barthélémy Dias fait partie du programme de liquidation des têtes brulées de l’opposition par le camp libéral. Selon le journal La Tribune, Wade n’ignorerait pas ce qui était en train de se tramer contre certaines têtes brulées de l’opposition. « Décapiter l’aile belliqueuse de l’opposition pour jeter le froid sur cette opposition. Alors qu’on sait que dans l’opposition, il n y a qu’au parti socialiste où l’on trouve des opposants au sang bouillant. Malick Noël Seck, Barthélémy Dias. »
Le premier est en prison, le second l'y rejoindra bientôt. D’après ces mêmes sources, neutraliser ces opposants reviendrait à réduire les risques de tension pré et post électorales. » La veille de l’attaque, le 21 décembre, le journal nous apprend que les commanditaires de l’attaque s’étaient réunis au siège du PDS pour confirmer leur plan et ceux qui y prendront part. Une autre réunion c’était auparavant tenue le 18 décembre dans la maison d’un haut responsable du PDS.
Mais pour les informateurs tapis dans l’ombre, tout ceci n’a que pour seul but de rassurer le conseil constitutionnel et « permettre aux membres de cette institution de se prononcer en toute quiétude en faveur de la validité de la candidature de Wade.» Ils affirment qu’ils étaient convaincus de la réaction du leader des jeunesses socialistes, connu pour son tempérament. « Il était certain que Barthélémy tomberait parce qu’il est extrêmement impulsif et aveuglé par sa haine de Wade. Quand on le provoque, il réagit toujours avec excès. C’est ce que voulait le camp libéral. On a essayé de lui retirer son permis de port d’arme sans y parvenir, mais il fallait bien qu’il tombe un jour ou l’autre par tous les moyens et au plus vite. » Révèle la source.
Source: La Tribune
Le premier est en prison, le second l'y rejoindra bientôt. D’après ces mêmes sources, neutraliser ces opposants reviendrait à réduire les risques de tension pré et post électorales. » La veille de l’attaque, le 21 décembre, le journal nous apprend que les commanditaires de l’attaque s’étaient réunis au siège du PDS pour confirmer leur plan et ceux qui y prendront part. Une autre réunion c’était auparavant tenue le 18 décembre dans la maison d’un haut responsable du PDS.
Mais pour les informateurs tapis dans l’ombre, tout ceci n’a que pour seul but de rassurer le conseil constitutionnel et « permettre aux membres de cette institution de se prononcer en toute quiétude en faveur de la validité de la candidature de Wade.» Ils affirment qu’ils étaient convaincus de la réaction du leader des jeunesses socialistes, connu pour son tempérament. « Il était certain que Barthélémy tomberait parce qu’il est extrêmement impulsif et aveuglé par sa haine de Wade. Quand on le provoque, il réagit toujours avec excès. C’est ce que voulait le camp libéral. On a essayé de lui retirer son permis de port d’arme sans y parvenir, mais il fallait bien qu’il tombe un jour ou l’autre par tous les moyens et au plus vite. » Révèle la source.
Source: La Tribune