À la rue de Thiong, siège de la DGID, la satisfaction est palpable, bien que la prudence reste de mise. Sous la direction d'Abdoulaye Diagne, les services des impôts enregistrent une progression continue, qui pourrait atteindre les 2000 milliards FCfa, dès octobre, un résultat inédit dans l’histoire fiscale du pays.
Ces performances contrastent avec le rapport controversé du FMI sur la gestion économique du Sénégal, qui pointe une baisse des recettes. Bien que des économistes de renom aient contesté ce rapport, les critiques se sont amplifiées, alimentant les attaques des opposants politiques. Certains vont jusqu'à rejeter complètement le rapport de la mission conduite par Edward Gemayel. Toutefois, au sein de la DGID, on reste ferme : les recettes fiscales n’ont pas baissé, bien au contraire.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes. À fin août, la DGID a recouvré 1 698 milliards FCfa en recettes brutes, soit une augmentation de 132,3 milliards par rapport à l’année précédente. Le taux de progression des recettes, +8,7 %, dépasse même la croissance du PIB. Le Directeur général Abdoulaye Diagne se dit confiant quant à l’atteinte des 2000 milliards FCfa en octobre et souligne que la baisse des recettes mentionnée par le FMI, ne concerne pas la DGID.
L'objectif de 2700 milliards FCfa pour 2024, devient donc plus accessible. Au premier semestre de l’année, 1309 milliards FCfa avaient déjà été collectés, une augmentation de 93 milliards par rapport à l’année précédente. Ces résultats sont perçus comme un signe de la solidité de l’économie sénégalaise et du civisme fiscal des citoyens et entreprises.
M. Diagne a récemment confirmé une augmentation de 115 milliards FCfa à la fin du mois de juillet, illustrant la résilience de l'économie. L’objectif pour la deuxième moitié de l’année, est fixé à 1381 milliards FCfa, avec l’espoir d’atteindre les 2700 milliards en fin d’année. Le DG a également évoqué les défis à venir pour 2025, avec des cibles encore plus ambitieuses.
Ces performances sont le fruit de la mise en œuvre du Programme de Rénovation et d’Extension des Services de la DGID (PRESID). L’impôt foncier a été un axe clé de cette stratégie. Ce prélèvement concerne un large éventail de la population et constitue une source cruciale pour le financement des collectivités territoriales, a rappelé Abdoulaye Diagne.
Ces performances contrastent avec le rapport controversé du FMI sur la gestion économique du Sénégal, qui pointe une baisse des recettes. Bien que des économistes de renom aient contesté ce rapport, les critiques se sont amplifiées, alimentant les attaques des opposants politiques. Certains vont jusqu'à rejeter complètement le rapport de la mission conduite par Edward Gemayel. Toutefois, au sein de la DGID, on reste ferme : les recettes fiscales n’ont pas baissé, bien au contraire.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes. À fin août, la DGID a recouvré 1 698 milliards FCfa en recettes brutes, soit une augmentation de 132,3 milliards par rapport à l’année précédente. Le taux de progression des recettes, +8,7 %, dépasse même la croissance du PIB. Le Directeur général Abdoulaye Diagne se dit confiant quant à l’atteinte des 2000 milliards FCfa en octobre et souligne que la baisse des recettes mentionnée par le FMI, ne concerne pas la DGID.
L'objectif de 2700 milliards FCfa pour 2024, devient donc plus accessible. Au premier semestre de l’année, 1309 milliards FCfa avaient déjà été collectés, une augmentation de 93 milliards par rapport à l’année précédente. Ces résultats sont perçus comme un signe de la solidité de l’économie sénégalaise et du civisme fiscal des citoyens et entreprises.
M. Diagne a récemment confirmé une augmentation de 115 milliards FCfa à la fin du mois de juillet, illustrant la résilience de l'économie. L’objectif pour la deuxième moitié de l’année, est fixé à 1381 milliards FCfa, avec l’espoir d’atteindre les 2700 milliards en fin d’année. Le DG a également évoqué les défis à venir pour 2025, avec des cibles encore plus ambitieuses.
Ces performances sont le fruit de la mise en œuvre du Programme de Rénovation et d’Extension des Services de la DGID (PRESID). L’impôt foncier a été un axe clé de cette stratégie. Ce prélèvement concerne un large éventail de la population et constitue une source cruciale pour le financement des collectivités territoriales, a rappelé Abdoulaye Diagne.