Des chiffres alarmants sur l’ampleur des dégâts
Les crues ont inondé 44 sites dans la région de Matam et 51 villages dans celle de Saint-Louis. Les départements de Tambacounda et de Bakel, ont également subi d’importants dégâts. Au total, 774 ménages, soit environ 55 600 personnes, ont été directement affectés. Sur le plan agricole, 1 002 hectares de champs ont été inondés, compromettant principalement les cultures de piment (49,19%), de riz (21,59%) et de maïs (10,56%).
8 milliards de francs Cfa mobilisés pour l’urgence
Face à l’urgence, le gouvernement a débloqué 8 milliards de francs Cfa, pour financer des mesures immédiates. Sous la coordination du ministre de l’Intérieur, plusieurs ministères, dont ceux des Forces armées, de la Santé, de l’Hydraulique et de l’Assainissement, ont été mobilisés avec les autorités locales. Les Forces armées et le Centre de Secours et d’Aide Rapide (CSAR), ont acheminé 500 tonnes de vivres, ainsi que des tentes, matelas, moustiquaires et autres produits de première nécessité.
Une aide renforcée à Bakel
À Bakel, où la situation est particulièrement préoccupante, 150 tonnes de riz et 1 000 000 litres d’eau potable ont été distribués aux populations sinistrées. Un hôpital militaire de niveau 1 a été déployé, offrant des consultations médicales gratuites aux habitants touchés. Par ailleurs, des patrouilles de sécurité ont été mises en place pour assurer la protection des sites de relogement.
Des infrastructures résilientes en préparation
Au-delà de l’urgence, le gouvernement prépare des infrastructures durables pour prévenir de futures inondations. Des digues de protection et des routes adaptées sont en projet, tandis que la reconstruction des ponts de Laly et de Niaoulène Tano a déjà débuté, pour rétablir la connectivité dans les zones impactées.
Avec ces actions, le Président Faye réaffirme la détermination de l’État à soutenir les sinistrés et à renforcer la résilience des infrastructures, afin de prévenir les conséquences désastreuses des crues à l’avenir.
Les crues ont inondé 44 sites dans la région de Matam et 51 villages dans celle de Saint-Louis. Les départements de Tambacounda et de Bakel, ont également subi d’importants dégâts. Au total, 774 ménages, soit environ 55 600 personnes, ont été directement affectés. Sur le plan agricole, 1 002 hectares de champs ont été inondés, compromettant principalement les cultures de piment (49,19%), de riz (21,59%) et de maïs (10,56%).
8 milliards de francs Cfa mobilisés pour l’urgence
Face à l’urgence, le gouvernement a débloqué 8 milliards de francs Cfa, pour financer des mesures immédiates. Sous la coordination du ministre de l’Intérieur, plusieurs ministères, dont ceux des Forces armées, de la Santé, de l’Hydraulique et de l’Assainissement, ont été mobilisés avec les autorités locales. Les Forces armées et le Centre de Secours et d’Aide Rapide (CSAR), ont acheminé 500 tonnes de vivres, ainsi que des tentes, matelas, moustiquaires et autres produits de première nécessité.
Une aide renforcée à Bakel
À Bakel, où la situation est particulièrement préoccupante, 150 tonnes de riz et 1 000 000 litres d’eau potable ont été distribués aux populations sinistrées. Un hôpital militaire de niveau 1 a été déployé, offrant des consultations médicales gratuites aux habitants touchés. Par ailleurs, des patrouilles de sécurité ont été mises en place pour assurer la protection des sites de relogement.
Des infrastructures résilientes en préparation
Au-delà de l’urgence, le gouvernement prépare des infrastructures durables pour prévenir de futures inondations. Des digues de protection et des routes adaptées sont en projet, tandis que la reconstruction des ponts de Laly et de Niaoulène Tano a déjà débuté, pour rétablir la connectivité dans les zones impactées.
Avec ces actions, le Président Faye réaffirme la détermination de l’État à soutenir les sinistrés et à renforcer la résilience des infrastructures, afin de prévenir les conséquences désastreuses des crues à l’avenir.