« L’observation des faits nous permet d’affirmer avec force, que les accidents de la route ne sont pas une fatalité », a affirmé M. Faye à cette rencontre, organisée à l’initiative du ministère des Infrastructures, des Transports terrestres et aériens, en présence d’experts du secteur, de leaders d’organisations professionnelles et de représentants de consommateurs. L’information a été rapportée par l'Agence de Presse Sénégalaise (APS).
Selon le chef de l’État, ces drames résultent souvent de « comportements humains inadéquats et de manquements à des règles de sécurité élémentaires ». Bassirou Diomaye Faye a insisté sur l’importance d’une « introspection sincère » de la part des acteurs du transport public routier, pour réduire les accidents. « Non, ce n’est pas une fatalité ! Si nous acceptons de faire notre introspection et d’adapter nos stratégies », a-t-il martelé.
Le Président a appelé à une évolution vers des systèmes de transports plus sûrs, en s’inspirant d’autres secteurs normés comme l’aviation et le maritime. « Nous devons intégrer des dispositifs d’alerte et de mitigation des risques », a-t-il préconisé, en mettant l’accent sur le besoin d’améliorer à la fois, la qualité des infrastructures et la régulation du transport public.
Le chef de l'Etat Bassirou Diomaye Faye a également souligné que les infrastructures de transport sont essentielles au développement économique et à l’intégration des marchés. Cependant, il a regretté que le Sénégal souffre encore d’un « déficit important en infrastructures physiques et numériques », malgré les avancées réalisées.
Il a réitéré l’urgence de déployer un « plan d’urgence de prévention et de sécurité routière », en précisant que les ministères concernés travaillent déjà sur des propositions concrètes. « Ce plan sera exécuté avec la plus grande rigueur », a-t-il assuré, selon l’APS.
Les états généraux des transports, qui dureront cinq jours, doivent déboucher sur un rapport final contenant des recommandations sur la gouvernance, le financement et l’exploitation des transports publics. Ce rapport sera remis au président de la République et au Premier ministre en novembre prochain, a indiqué Serigne Bamba Sy, secrétaire général du ministère des Infrastructures.
Selon le chef de l’État, ces drames résultent souvent de « comportements humains inadéquats et de manquements à des règles de sécurité élémentaires ». Bassirou Diomaye Faye a insisté sur l’importance d’une « introspection sincère » de la part des acteurs du transport public routier, pour réduire les accidents. « Non, ce n’est pas une fatalité ! Si nous acceptons de faire notre introspection et d’adapter nos stratégies », a-t-il martelé.
Le Président a appelé à une évolution vers des systèmes de transports plus sûrs, en s’inspirant d’autres secteurs normés comme l’aviation et le maritime. « Nous devons intégrer des dispositifs d’alerte et de mitigation des risques », a-t-il préconisé, en mettant l’accent sur le besoin d’améliorer à la fois, la qualité des infrastructures et la régulation du transport public.
Le chef de l'Etat Bassirou Diomaye Faye a également souligné que les infrastructures de transport sont essentielles au développement économique et à l’intégration des marchés. Cependant, il a regretté que le Sénégal souffre encore d’un « déficit important en infrastructures physiques et numériques », malgré les avancées réalisées.
Il a réitéré l’urgence de déployer un « plan d’urgence de prévention et de sécurité routière », en précisant que les ministères concernés travaillent déjà sur des propositions concrètes. « Ce plan sera exécuté avec la plus grande rigueur », a-t-il assuré, selon l’APS.
Les états généraux des transports, qui dureront cinq jours, doivent déboucher sur un rapport final contenant des recommandations sur la gouvernance, le financement et l’exploitation des transports publics. Ce rapport sera remis au président de la République et au Premier ministre en novembre prochain, a indiqué Serigne Bamba Sy, secrétaire général du ministère des Infrastructures.