Candidat déclaré à la prochaine élection présidentielle de février 2019, le petit-fils de Cheikh Ibrahima Niass dit Baye, Baye Mamoune Niass, ne compte pas faire des choses comme les autres. Et le moins qu’on puisse dire, c’est que les pécheurs et autres adeptes des violations des règles édictées par le Saint Coran ont du souci à se faire.
Invité, hier mercredi 12 septembre, à la radio Al Fayda fm, la première radio à Kaolack, le marabout politicien, a décliné ses ambitions pour le Sénégal. « En âme et conscience, je crois qu’il n’y a pas de meilleur texte pour régir le monde en général et le Sénégal en particulier, que la Charia islamique », a d‘emblée déclaré le petit-fils de Baye Niass, qui reconnait toute de même qu’il est loin de gagner ce combat qu’il a toujours soutenu. « Mais comme je suis dans une République, un pays laïc. Et, je ne suis pas un roi, je respecterai la volonté des citoyens du pays », note-t-il à ce propos.
Et même s’il reconnait l’existence de tous ces obstacles, le président du mouvement « And ak Askan wi naatal Sénégal, bennal Afrique », croit encore dure comme fer, à la réalisation de son projet de révolution. Ainsi, le guide religieux a indiqué que si la majorité des Sénégalais approuve de manière démocratique l’instauration de la charia.
Celle-ci, ne sera que bénéfique pour le pays. « Si par voie référendaire, le peuple vote en faveur de l’application de la loi de Dieu, je l’appliquerai. Avant moi, notre pays a connu des guides religieux qui ne croyaient qu’ne la charia. Mais, ils ont été toujours tolèrant et n’ont jamais essayé de l’imposer. Moi, je ne ferai pas moins », a-t-il assuré.
La volonté de Serigne Baye Mamoune Niass, en l’état actuel des choses, relève beaucoup plus de l’utopie que de tout autre chose. S’il en est ainsi, c’est parce que la nature Républicaine du régime est irréversible, comme en dispose la constitution. « La République du Sénégal est laïque, démocratique et sociale. Elle assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens, sans distinction d’origine, de race, de sexe, de religion. Elle respecte toutes les croyances », dispose l’article premier de la Constitution du Sénégal.
Les Echos
Invité, hier mercredi 12 septembre, à la radio Al Fayda fm, la première radio à Kaolack, le marabout politicien, a décliné ses ambitions pour le Sénégal. « En âme et conscience, je crois qu’il n’y a pas de meilleur texte pour régir le monde en général et le Sénégal en particulier, que la Charia islamique », a d‘emblée déclaré le petit-fils de Baye Niass, qui reconnait toute de même qu’il est loin de gagner ce combat qu’il a toujours soutenu. « Mais comme je suis dans une République, un pays laïc. Et, je ne suis pas un roi, je respecterai la volonté des citoyens du pays », note-t-il à ce propos.
Et même s’il reconnait l’existence de tous ces obstacles, le président du mouvement « And ak Askan wi naatal Sénégal, bennal Afrique », croit encore dure comme fer, à la réalisation de son projet de révolution. Ainsi, le guide religieux a indiqué que si la majorité des Sénégalais approuve de manière démocratique l’instauration de la charia.
Celle-ci, ne sera que bénéfique pour le pays. « Si par voie référendaire, le peuple vote en faveur de l’application de la loi de Dieu, je l’appliquerai. Avant moi, notre pays a connu des guides religieux qui ne croyaient qu’ne la charia. Mais, ils ont été toujours tolèrant et n’ont jamais essayé de l’imposer. Moi, je ne ferai pas moins », a-t-il assuré.
La volonté de Serigne Baye Mamoune Niass, en l’état actuel des choses, relève beaucoup plus de l’utopie que de tout autre chose. S’il en est ainsi, c’est parce que la nature Républicaine du régime est irréversible, comme en dispose la constitution. « La République du Sénégal est laïque, démocratique et sociale. Elle assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens, sans distinction d’origine, de race, de sexe, de religion. Elle respecte toutes les croyances », dispose l’article premier de la Constitution du Sénégal.
Les Echos