Le lutteur de Thiaroye, classé naguère parmi les grands espoirs de la lutte, pour avoir eu l’opportunité de se mesurer à Modou Lô, Gris Bordeaux et Papa Sow, a brûlé ses jokers.
En perdant contre ces lutteurs cités plus haut, il n’est même plus admis dans l’antichambre de la Cour des grands, malgré sa victoire sur Moussa Dioum, en avril 2011
Pour entrer dans ce cercle avant celui des Grands où les combats se négocient à une centaine de millions, il a tout à gagner son combat de dimanche contre Boy Niang 2.
S’il est vrai que sa défaite contre Modou Lô, est encore sujette à caution, celle enregistrée contre Gris Bordeaux et son discours tout au long de la préparation du combat ont aussi contribué à dégrader son image.
Pour toutes ces raisons, le porte-drapeau de Thiaroye n’a plus droit à l’erreur. Il aura fort à faire et aura la pression pour ce combat contre un lutteur plus jeune, contraint lui aussi de redorer son blason, après un comportement anti sportif.
Boy Niang 2, auteur d’une agression en 2012, avait été suspendu une première fois à cinq ans avant de voir sa peine réduite à 12 mois.
Très bon lutteur, selon les observateurs, Boy Niang 2 avait la particularité d’être scolarisé dans un milieu où les tenants avaient l’habitude de se glorifier d’avoir tout sacrifié pour réussir grâce à leurs poings.
Celui qui devait montrer l’exemple, qui devait forcer les portes encore closes à ce sport de combat bien de chez nous, est devenu son plus grand contempteur avec son geste.
Défait par Zoss à la loyale, il n’a trouvé rien de plus que de s’en prendre à ce dernier en lieu et place d’un geste de fair-play qui l’aurait grandi.
Suspendu pour cinq ans à la hauteur de l’acte commis, il a finalement vu sa suspension, réduite à 12 mois après un intense lobbying et après un acte de contrition.
Dimanche, »l’intellectuel » devrait lui aussi montrer l’exemple sur tous les plans en gagnant de préférence par la meilleure des manières et prendre la voie royale que les fins observateurs de la lutte avec frappe lui dessinent.
APS
En perdant contre ces lutteurs cités plus haut, il n’est même plus admis dans l’antichambre de la Cour des grands, malgré sa victoire sur Moussa Dioum, en avril 2011
Pour entrer dans ce cercle avant celui des Grands où les combats se négocient à une centaine de millions, il a tout à gagner son combat de dimanche contre Boy Niang 2.
S’il est vrai que sa défaite contre Modou Lô, est encore sujette à caution, celle enregistrée contre Gris Bordeaux et son discours tout au long de la préparation du combat ont aussi contribué à dégrader son image.
Pour toutes ces raisons, le porte-drapeau de Thiaroye n’a plus droit à l’erreur. Il aura fort à faire et aura la pression pour ce combat contre un lutteur plus jeune, contraint lui aussi de redorer son blason, après un comportement anti sportif.
Boy Niang 2, auteur d’une agression en 2012, avait été suspendu une première fois à cinq ans avant de voir sa peine réduite à 12 mois.
Très bon lutteur, selon les observateurs, Boy Niang 2 avait la particularité d’être scolarisé dans un milieu où les tenants avaient l’habitude de se glorifier d’avoir tout sacrifié pour réussir grâce à leurs poings.
Celui qui devait montrer l’exemple, qui devait forcer les portes encore closes à ce sport de combat bien de chez nous, est devenu son plus grand contempteur avec son geste.
Défait par Zoss à la loyale, il n’a trouvé rien de plus que de s’en prendre à ce dernier en lieu et place d’un geste de fair-play qui l’aurait grandi.
Suspendu pour cinq ans à la hauteur de l’acte commis, il a finalement vu sa suspension, réduite à 12 mois après un intense lobbying et après un acte de contrition.
Dimanche, »l’intellectuel » devrait lui aussi montrer l’exemple sur tous les plans en gagnant de préférence par la meilleure des manières et prendre la voie royale que les fins observateurs de la lutte avec frappe lui dessinent.
APS