Et ce, alors que la loi sénégalaise stipule que tout le trafic international doit transiter par l'opérateur public, indique Le Soir. Le régulateur local a ouvert une enquête.
Ce trafic international représente une importante source de rentrées pour Sonatel (et, via Sonatel, pour le pays qui détient 58 pour cent de l'entreprise), selon le journal. Pour Sonatel, la perte se chiffrerait en millions d'euros.
Belgacom estime qu'il appartient à Tigo de s'assurer que les contrats que l'entreprise signe, soient conformes à la législation télécom sénégalaise. "Belgacom ICS conclut des contrats avec des opérateurs dans des dizaines de pays. Elle attend de ces opérateurs clients qu'ils respectent les lois en vigueur dans leur pays, y compris lors de la signature de contrats avec des fournisseurs de services télécoms internationaux, tels Belgacom ICS", déclare un porte-parole de Belgacom.
"Si nous devions être informés de certaines règles qui feraient que certains contrats ou parties de ceux-ci soient inexécutables, nous serions contraints de prendre les mesures qui s'imposent", ajoute-t-il encore.
Ce trafic international représente une importante source de rentrées pour Sonatel (et, via Sonatel, pour le pays qui détient 58 pour cent de l'entreprise), selon le journal. Pour Sonatel, la perte se chiffrerait en millions d'euros.
Belgacom estime qu'il appartient à Tigo de s'assurer que les contrats que l'entreprise signe, soient conformes à la législation télécom sénégalaise. "Belgacom ICS conclut des contrats avec des opérateurs dans des dizaines de pays. Elle attend de ces opérateurs clients qu'ils respectent les lois en vigueur dans leur pays, y compris lors de la signature de contrats avec des fournisseurs de services télécoms internationaux, tels Belgacom ICS", déclare un porte-parole de Belgacom.
"Si nous devions être informés de certaines règles qui feraient que certains contrats ou parties de ceux-ci soient inexécutables, nous serions contraints de prendre les mesures qui s'imposent", ajoute-t-il encore.