Moins d’un an après la mort de Ben Laden, survenue lors d’un raid militaire américain au Pakistan le 2 mai 2011, la justice pakistanaise vient de décider du sort des trois veuves du chef d’Al-Qaida et de deux de ses filles. Toutes ont en effet été condamnées à 45 jours de prison pour séjour illégal. « Le tribunal a également demandé au gouvernement de préparer les documents nécessaires à leur rapatriement, pour qu'elles puissent retourner dans leur pays le plus vite possible », a affirmé Zakarya Ahmad Abdulfattah, le frère de la Yéménite Amal Abdulfattah, la plus jeune des épouses d’Oussama Ben Laden.
Maintenues en résidence surveillée
Les trois veuves de Ben Laden, deux Saoudiennes et une Yéménite, étaient entrées illégalement au Pakistan. Elles avaient été inculpées d'entrée et de séjour illégaux dans le pays le 3 mars dernier, avait alors rapporté le ministre pakistanais de l'Intérieur. Leur détention devrait s'achever d'ici deux semaines, a précisé Muhammad Aamir, leur avocat. Depuis le raid militaire de mai 2011, les trois veuves, ainsi qu’un nombre indéterminé d’enfants et de petits-enfants de Ben Laden, étaient maintenus en résidence surveillée, décrite par les autorités comme une « sous-prison ». Alors que les Américains avaient emmené le corps du chef d’Al-Qaida, ils avaient laissé au Pakistan le soin de décider du sort de la famille de l’instigateur des attentats du 11-septembre 2001.
SOURCE:Elle.fr
Maintenues en résidence surveillée
Les trois veuves de Ben Laden, deux Saoudiennes et une Yéménite, étaient entrées illégalement au Pakistan. Elles avaient été inculpées d'entrée et de séjour illégaux dans le pays le 3 mars dernier, avait alors rapporté le ministre pakistanais de l'Intérieur. Leur détention devrait s'achever d'ici deux semaines, a précisé Muhammad Aamir, leur avocat. Depuis le raid militaire de mai 2011, les trois veuves, ainsi qu’un nombre indéterminé d’enfants et de petits-enfants de Ben Laden, étaient maintenus en résidence surveillée, décrite par les autorités comme une « sous-prison ». Alors que les Américains avaient emmené le corps du chef d’Al-Qaida, ils avaient laissé au Pakistan le soin de décider du sort de la famille de l’instigateur des attentats du 11-septembre 2001.
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