"Il n'y a aucun crépuscule du berlusconisme", a-t-il lancé lors d'un meeting de soutien à Letizia Moratti, maire sortante de Milan (nord) et candidate aux municipales de la mi-mai.
"Je prends les paris: ils ne réussiront pas à se débarrasser de moi, même pas cette fois-ci", a indiqué M. Berlusconi à l'adresse du parquet de Milan, en affirmant que "toutes les accusations à (mon) encontre sont inexistantes". "Je l'ai juré sur mes cinq enfants et mes petits-enfants adorés", a-t-il ajouté.
Le Cavaliere a de nouveau accusé les procureurs d'être marqués à gauche et de vouloir le renverser.
"Il n'y a pas un seul des faits parmi ceux que me reproche la cellule rouge des procureurs de Milan qui soit proche de la réalité", a affirmé M. Berlusconi. "Par chance quand les procureurs m'accusent, ensuite les juges reconnaissent qu'il n'y a pas lieu de me poursuivre", a-t-il dit.
Le chef du gouvernement s'en est également pris à son ex-allié à droite, le président de la Chambre des députés Gianfranco Fini, en affirmant que ce dernier aurait "scellé un pacte de scélérat avec les juges" pour que ceux-ci le "protègent et poursuivent" Berlusconi et qu'en échange aucune réforme de la justice défavorable aux procureurs ne soit votée au parlement.
M. Berlusconi est actuellement jugé pour les affaires Mediaset et Mills et surtout le Rubygate où il est accusé d'avoir payé les prestations sexuelles d'une mineure marocaine surnommée Ruby.
Le milliardaire qui possède trois chaînes de télévisions a été condamné à trois reprises en première instance en 1997 et 1998 à un total de 6 ans et 5 mois de prison ferme pour corruption, faux en bilan et financement illicite d'un parti politique. Il a depuis été acquitté ou a bénéficié de la prescription des délits.
source AFP via lepoint.fr
"Je prends les paris: ils ne réussiront pas à se débarrasser de moi, même pas cette fois-ci", a indiqué M. Berlusconi à l'adresse du parquet de Milan, en affirmant que "toutes les accusations à (mon) encontre sont inexistantes". "Je l'ai juré sur mes cinq enfants et mes petits-enfants adorés", a-t-il ajouté.
Le Cavaliere a de nouveau accusé les procureurs d'être marqués à gauche et de vouloir le renverser.
"Il n'y a pas un seul des faits parmi ceux que me reproche la cellule rouge des procureurs de Milan qui soit proche de la réalité", a affirmé M. Berlusconi. "Par chance quand les procureurs m'accusent, ensuite les juges reconnaissent qu'il n'y a pas lieu de me poursuivre", a-t-il dit.
Le chef du gouvernement s'en est également pris à son ex-allié à droite, le président de la Chambre des députés Gianfranco Fini, en affirmant que ce dernier aurait "scellé un pacte de scélérat avec les juges" pour que ceux-ci le "protègent et poursuivent" Berlusconi et qu'en échange aucune réforme de la justice défavorable aux procureurs ne soit votée au parlement.
M. Berlusconi est actuellement jugé pour les affaires Mediaset et Mills et surtout le Rubygate où il est accusé d'avoir payé les prestations sexuelles d'une mineure marocaine surnommée Ruby.
Le milliardaire qui possède trois chaînes de télévisions a été condamné à trois reprises en première instance en 1997 et 1998 à un total de 6 ans et 5 mois de prison ferme pour corruption, faux en bilan et financement illicite d'un parti politique. Il a depuis été acquitté ou a bénéficié de la prescription des délits.
source AFP via lepoint.fr