Le Directeur général des impôts et des domaines (DGID), Amadou Bâ, a décliné, lundi 11 juin, les objectifs assignés à la structure qu’il dirige en termes de rentrées financières. Elle cherche quelques 911 milliards de FCfa sur les recettes prévues. Une révélation qu’il a faite lors de la visite du ministre de l’Economie et des finances, Amadou Kane, qui était en compagnie du ministre délégué, chargé du budget, Abdoulaye Daouda Diallo. «L’année dernière, on a réalisé globalement 830 milliards de recettes brutes. On avait légèrement fait évoluer de 5 milliards ces recettes. On peut considérer qu’on a atteint les objectifs», a indiqué Amadou Bâ. Poursuivant, il annonce que cette année, c’est un objectif de 911 milliards qu’il cherche à réaliser sur les recettes. Tout en reconnaissant que le contexte actuel est «effectivement difficile», le Directeur général des Impôts et domaines ajoute qu’il appartient aux services techniques de veiller à la réalisation de telles ambitions.
Dans la foulée, Amadou Bâ renseigne que le code général des impôts va entrer en vigueur le 1er janvier 2013. Ce code, dit-il, est élaboré sur la base d’une approche consensuelle, faite de dialogue, de discussion. Mieux, il informe que les grandes innovations de ce nouveau code sont, entre autres, la rationalisation de la dépense fiscale, l’objectif de baisse de la fiscalité sur les revenus des personnes publiques et la simplification dudit code. Dans le même sillage, le Directeur général des Impôts et domaines a annoncé la création du centre pour les moyennes entreprises. Il va gérer les contribuables dont le chiffre d’affaires varie entre 200 millions et 1 milliard de francs. «Ce centre doit ouvrir ses portes dès le 1e juillet, indique-t-il, ceux qui n’ont pas payé leurs impôts vont faire l’objet de poursuite judiciaire».
Pour sa part, le ministre de l’Economie et des finances a fait savoir qu’il a effectué cette visite pour inciter les fonctionnaires à contribuer à l’atteinte des objectifs autour de leur direction générale. Ce, pour que les besoins qui sont fixés en 2012 et en 2013 puissent être suffisamment couverts. Il a, sur la même lignée, encouragé les fonctionnaires pour que les réformes qui sont entreprises soient poursuivies avec détermination, afin qu’on puisse avoir un service fiscal efficace. «Un Etat ne peut pas assurer ses missions régaliennes sans un minimum de recettes. Ces recettes découlent des impôts acquittés par les entreprises et par les personnes physiques», a dit le ministre. «Nous souhaitons pour cela que la gestion de la Direction générale des Impôts et domaines soit encore beaucoup plus proche de ses usagers».
Demandant ainsi la transparence dans la gestion des affaires de l’Etat, le ministre a conclu en ces termes : «Nous sommes dans une ère de transparence. (...) Nous voulons que les valeurs d’éthique, qui ont fait la fierté de notre administration, soient retrouvées».
SOURCE:Lesenegalaise.net
Dans la foulée, Amadou Bâ renseigne que le code général des impôts va entrer en vigueur le 1er janvier 2013. Ce code, dit-il, est élaboré sur la base d’une approche consensuelle, faite de dialogue, de discussion. Mieux, il informe que les grandes innovations de ce nouveau code sont, entre autres, la rationalisation de la dépense fiscale, l’objectif de baisse de la fiscalité sur les revenus des personnes publiques et la simplification dudit code. Dans le même sillage, le Directeur général des Impôts et domaines a annoncé la création du centre pour les moyennes entreprises. Il va gérer les contribuables dont le chiffre d’affaires varie entre 200 millions et 1 milliard de francs. «Ce centre doit ouvrir ses portes dès le 1e juillet, indique-t-il, ceux qui n’ont pas payé leurs impôts vont faire l’objet de poursuite judiciaire».
Pour sa part, le ministre de l’Economie et des finances a fait savoir qu’il a effectué cette visite pour inciter les fonctionnaires à contribuer à l’atteinte des objectifs autour de leur direction générale. Ce, pour que les besoins qui sont fixés en 2012 et en 2013 puissent être suffisamment couverts. Il a, sur la même lignée, encouragé les fonctionnaires pour que les réformes qui sont entreprises soient poursuivies avec détermination, afin qu’on puisse avoir un service fiscal efficace. «Un Etat ne peut pas assurer ses missions régaliennes sans un minimum de recettes. Ces recettes découlent des impôts acquittés par les entreprises et par les personnes physiques», a dit le ministre. «Nous souhaitons pour cela que la gestion de la Direction générale des Impôts et domaines soit encore beaucoup plus proche de ses usagers».
Demandant ainsi la transparence dans la gestion des affaires de l’Etat, le ministre a conclu en ces termes : «Nous sommes dans une ère de transparence. (...) Nous voulons que les valeurs d’éthique, qui ont fait la fierté de notre administration, soient retrouvées».
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