C'est du moins ce qui est ressorti d'un entretien accordé par ce dernier à nos confrères du quotidien sénégalais Le Soleil.
La banque, qui se satisfait d'un bilan de 40 000 familles logées en trente ans, d'investissements à hauteur de 198 milliards FCFA dans ce sens, s'attend à de belles perspectives pour les coopératives d'habitat et les promoteurs privés évoluant dans l'immobilier.
Revenant un temps sur l'historique de la BHS, le directeur général a rappelé que cette banque spécialisée dans le financement du logement est un exemple achevé de partenariat public-privé dans l'immobilier.
Créée en 1979 par l'Etat, elle visait à mettre sur pied un système de financement du logement, vu qu'avant sa création il y avait la Sicap (Société immobilière du Cap-Vert) et la Sn-Hlm (Société nationale des habitations à loyers modérés) qui produisaient des logements avec le financement de bailleurs de fonds multilatéraux comme la Banque mondiale, la Caisse française de développement, précisera-t-il.
Le caractère éclaté de son actionnariat (à parts quasi égales) n'a pas été occulté.
Pour Bocar Sy, il s'agissait d'une volonté de l'Etat du Sénégal, qui y a associé des banques commerciales, des compagnies d'assurances, à l'image de la Caisse de sécurité sociale, ou immobilières comme la Sicap, ainsi que quelques particuliers. "
http://www.lesafriques.com/
La banque, qui se satisfait d'un bilan de 40 000 familles logées en trente ans, d'investissements à hauteur de 198 milliards FCFA dans ce sens, s'attend à de belles perspectives pour les coopératives d'habitat et les promoteurs privés évoluant dans l'immobilier.
Revenant un temps sur l'historique de la BHS, le directeur général a rappelé que cette banque spécialisée dans le financement du logement est un exemple achevé de partenariat public-privé dans l'immobilier.
Créée en 1979 par l'Etat, elle visait à mettre sur pied un système de financement du logement, vu qu'avant sa création il y avait la Sicap (Société immobilière du Cap-Vert) et la Sn-Hlm (Société nationale des habitations à loyers modérés) qui produisaient des logements avec le financement de bailleurs de fonds multilatéraux comme la Banque mondiale, la Caisse française de développement, précisera-t-il.
Le caractère éclaté de son actionnariat (à parts quasi égales) n'a pas été occulté.
Pour Bocar Sy, il s'agissait d'une volonté de l'Etat du Sénégal, qui y a associé des banques commerciales, des compagnies d'assurances, à l'image de la Caisse de sécurité sociale, ou immobilières comme la Sicap, ainsi que quelques particuliers. "
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