Pour avoir administré des coups de bâton à son collègue, Mamadou Alpha Barry, Birahim Diémé a écopé d’un mois d’emprisonnement ferme. Né en 1993 et étudiant à l’Université Virtuelle du Sénégal (Uvs), le prévenu répondait de coups et blessures volontaires au tribunal des flagrants délits de Dakar, hier lundi.
Mamadou Alpha Barry a failli passer l’arme à gauche. Sévèrement battu par Birahim Diémé, il s’est réveillé à l’hôpital.
Les deux journaliers ont eu une prise de bec au moment où ils s’apprêtaient à décharger un conteneur de la société Uniparco, rapporte "Rewmi". Traité de faux étudiant par Mamadou Alpha Barry, Diémé a violemment réagi. A la suite de la bagarre qui a éclaté entre eux, ils seront licenciés par leur employeur. Décidé à laver cet affront, Birahim Diémé attend de pied ferme son ennemi juré en dehors de l’entreprise. Armé d’un bâton, il le rouera de violents coups. Informés, les sapeurs-pompiers rappliquent sur les lieux et évacuent la victime. Muni d’un certificat médical assorti d’une incapacité temporaire de travail de 21 jours, M. Barry saisit la justice.
Attrait devant la barre du tribunal des flagrants délits de Dakar hier lundi, pour coups et blessures volontaires, le prévenu qui allie étude et travail, tente de diminuer sa responsabilité pénale. Il déclare que la partie civile a été la première à lui donner un coup de pierre. “C’est en voulant l’esquiver que le bâton l’a touché. J’avais pas l’intention de le blesser”, dit-il.
Prenant la parole, le plaignant soutient avoir reçu deux coups de bâton à la tempe et à l’avant-bras. Pour la réparation du préjudice subi, il a réclamé 65.000 francs FCfa.
L’avocate de la société a requis l’application de la loi. Conseil du prévenu, Me Ousmane Thiam a sollicité la clémence. Il sera suivi par le président du tribunal, qui a condamné le prévenu à un mois de prison ferme et à payer 65.000 francs FCfa à la partie civile.
Mamadou Alpha Barry a failli passer l’arme à gauche. Sévèrement battu par Birahim Diémé, il s’est réveillé à l’hôpital.
Les deux journaliers ont eu une prise de bec au moment où ils s’apprêtaient à décharger un conteneur de la société Uniparco, rapporte "Rewmi". Traité de faux étudiant par Mamadou Alpha Barry, Diémé a violemment réagi. A la suite de la bagarre qui a éclaté entre eux, ils seront licenciés par leur employeur. Décidé à laver cet affront, Birahim Diémé attend de pied ferme son ennemi juré en dehors de l’entreprise. Armé d’un bâton, il le rouera de violents coups. Informés, les sapeurs-pompiers rappliquent sur les lieux et évacuent la victime. Muni d’un certificat médical assorti d’une incapacité temporaire de travail de 21 jours, M. Barry saisit la justice.
Attrait devant la barre du tribunal des flagrants délits de Dakar hier lundi, pour coups et blessures volontaires, le prévenu qui allie étude et travail, tente de diminuer sa responsabilité pénale. Il déclare que la partie civile a été la première à lui donner un coup de pierre. “C’est en voulant l’esquiver que le bâton l’a touché. J’avais pas l’intention de le blesser”, dit-il.
Prenant la parole, le plaignant soutient avoir reçu deux coups de bâton à la tempe et à l’avant-bras. Pour la réparation du préjudice subi, il a réclamé 65.000 francs FCfa.
L’avocate de la société a requis l’application de la loi. Conseil du prévenu, Me Ousmane Thiam a sollicité la clémence. Il sera suivi par le président du tribunal, qui a condamné le prévenu à un mois de prison ferme et à payer 65.000 francs FCfa à la partie civile.