
Dans l’entretien qu’il a accordé à nos confrères de L’As, Birame Faye prend le contrepied de Babacar Ndour et Cie qu’il considère comme des gens très pressés. Ces jeunes sont pressés. Il ne peut pas y avoir de suppression de l’Anej. Dans tous les pays, on a besoin de structures pour l’emploi des jeunes", a-t-il indiqué ajoutant qu’il y a aussi "d’autres raisons qui font qu’on ne peut pas parler de suppression de l’Anej". "Il y a une association africaine des cellule d'emplois publics à laquelle appartient l'Anej". Birame Faye appelle les contestataires à savoir raison garder et se dit prêt à faire des projets et trouver des financements dans le cadre de l’assistance juridique par exemple. "Nous sommes prêts à les accompagner pour la réouverture des métiers fermés comme le corps des huissiers, des notaires, des commissaires-priseurs et le barreau", a-t-il assuré.