‘’L’absence d’une loi sur la liberté d’information dans les pays membres du Groupe international d’action contre le blanchiment d’argent (GIABA) rend difficile, sinon impossible l’accès à des informations financières’’, a indiqué Karim Okanla dans sa communication ‘’défis, risques et contraintes liés à l’investigation en cas de blanchiment d’argent et financement du terrorisme’.
De telles informations sont de nature à leur permettre de faire des investigations en faveur de la lutte contre le blanchiment d’argent, a précisé M. Okanla à la conférence de presse internationale pour les responsables des médias de l’Afrique de l’Ouest, cumulée à la session d’information pour les ambassadeurs des pays membres de la CEDEAO.
En Afrique au Sud du Sahara, ‘’seuls l’Afrique du Sud et, récemment, le Nigéria ont réussi à avoir cette loi sur la liberté de l’information tandis que le Sénégal semble être dans les dispositions’’, a-t-il noté.
Toutefois, a rassuré l’expert et enseignant à l’université nord américaine du Bénin, ‘’on peut se réjouir du fait que tous les pays membres du GIABA possèdent une loi anti-blanchiment d’argent bien qu’il reste beaucoup de choses à faire’’.
L’autre contrainte à l’investigation du journaliste dans les affaires financières est, selon M. Okanla, la réticence ou l’absence d’interlocuteurs dans le domaine en question.
‘’Les professionnels du secteur bancaire et autres services affiliés ne parlent pas souvent aux journalistes ni ne leur fournissent des documents pour les aider à mettre à nu les crimes financiers’’, a-t-il ajouté.
En 2004, a expliqué l’expert, ‘’seuls 50 pays dans le monde avaient déjà mis en place cette loi sur la liberté de l’information qui obligeait le gouvernement à mettre les informations nécessaires à la disposition du public’’.
Le GIABA se fixe entre autres objectifs, selon son directeur général Abdullahi Shehu qui a procédé à l’ouverture de ladite rencontre, ‘’d’établir des mécanismes nécessaires pour la lutter contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme dans les pays de la CEDEAO’’.
Cette mission, a-t-il poursuivi, ‘’n’est pas seulement l’affaire du gouvernement, mais la société civile et les médias ont un grand rôle dans le combat contre le blanchiment d’argent’’.
La conférence de presse internationale pour les responsables des médias de l’Afrique de l’Ouest, cumulée à la session d’information pour les ambassadeurs des pays membres de la CEDEAO, réunit pendant deux jours plusieurs journalistes et responsables d’organes de presse de tous les pays membres de la CEDEAO.
Source:APS
De telles informations sont de nature à leur permettre de faire des investigations en faveur de la lutte contre le blanchiment d’argent, a précisé M. Okanla à la conférence de presse internationale pour les responsables des médias de l’Afrique de l’Ouest, cumulée à la session d’information pour les ambassadeurs des pays membres de la CEDEAO.
En Afrique au Sud du Sahara, ‘’seuls l’Afrique du Sud et, récemment, le Nigéria ont réussi à avoir cette loi sur la liberté de l’information tandis que le Sénégal semble être dans les dispositions’’, a-t-il noté.
Toutefois, a rassuré l’expert et enseignant à l’université nord américaine du Bénin, ‘’on peut se réjouir du fait que tous les pays membres du GIABA possèdent une loi anti-blanchiment d’argent bien qu’il reste beaucoup de choses à faire’’.
L’autre contrainte à l’investigation du journaliste dans les affaires financières est, selon M. Okanla, la réticence ou l’absence d’interlocuteurs dans le domaine en question.
‘’Les professionnels du secteur bancaire et autres services affiliés ne parlent pas souvent aux journalistes ni ne leur fournissent des documents pour les aider à mettre à nu les crimes financiers’’, a-t-il ajouté.
En 2004, a expliqué l’expert, ‘’seuls 50 pays dans le monde avaient déjà mis en place cette loi sur la liberté de l’information qui obligeait le gouvernement à mettre les informations nécessaires à la disposition du public’’.
Le GIABA se fixe entre autres objectifs, selon son directeur général Abdullahi Shehu qui a procédé à l’ouverture de ladite rencontre, ‘’d’établir des mécanismes nécessaires pour la lutter contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme dans les pays de la CEDEAO’’.
Cette mission, a-t-il poursuivi, ‘’n’est pas seulement l’affaire du gouvernement, mais la société civile et les médias ont un grand rôle dans le combat contre le blanchiment d’argent’’.
La conférence de presse internationale pour les responsables des médias de l’Afrique de l’Ouest, cumulée à la session d’information pour les ambassadeurs des pays membres de la CEDEAO, réunit pendant deux jours plusieurs journalistes et responsables d’organes de presse de tous les pays membres de la CEDEAO.
Source:APS