Or, c’est la meilleure démarche. «Je voudrais dire que lorsque le cadre est assaini, la participation des acteurs est allégée parce que chacun s’y retrouve facilement étant donné qu’on considère ces grands enjeux comme des principes nationaux ; donc des orientations auxquelles tout le monde adhère», indique-t-il au micro de la Rfm où il était l'invité de l'émission dominicale "Remue-ménage".
Aussi, pense M. Gomis, «il est important que les gens comprennent que la citoyenneté, c’est d’abord le respect des institutions, le respect de ceux qui sont élus ; c’est aussi la participation dynamique aux objectifs nationaux considérés comme étant des principes».
M.Gomis a, également, insisté sur la pérennisation des grandes décisions. Car, ce n’est pas les acteurs qui doivent nous obliger de changer la Constitution selon leur humeur. «Ce n’est pas les acteurs qui doivent nous obliger à changer la Constitution selon leur humeur. «Nous ne sommes pas des animaux mais bien des hommes dotés de raison. Il ne faut pas que ceux qui nous gouvernent pensent qu’ils sont plus intelligents que le Sénégalais lamda», a-t-il tranché. Parce que si de cette manière qu’ils raisonnent, ils se trompent lourdement. Car le Sénégalais lamda, celui du village le plus reculé du pays et N fois, peut-être, parfois «plus intelligeant» que ceux qui nous administrent actuellement.
Charles Thialice SENGHOR
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Aussi, pense M. Gomis, «il est important que les gens comprennent que la citoyenneté, c’est d’abord le respect des institutions, le respect de ceux qui sont élus ; c’est aussi la participation dynamique aux objectifs nationaux considérés comme étant des principes».
M.Gomis a, également, insisté sur la pérennisation des grandes décisions. Car, ce n’est pas les acteurs qui doivent nous obliger de changer la Constitution selon leur humeur. «Ce n’est pas les acteurs qui doivent nous obliger à changer la Constitution selon leur humeur. «Nous ne sommes pas des animaux mais bien des hommes dotés de raison. Il ne faut pas que ceux qui nous gouvernent pensent qu’ils sont plus intelligents que le Sénégalais lamda», a-t-il tranché. Parce que si de cette manière qu’ils raisonnent, ils se trompent lourdement. Car le Sénégalais lamda, celui du village le plus reculé du pays et N fois, peut-être, parfois «plus intelligeant» que ceux qui nous administrent actuellement.
Charles Thialice SENGHOR
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