Selon L’As, Boubou Diouf Tall, président de l’Observatoire national des peines et père Aïssatou Tall la victime, qui aurait été violée par Cheikh Yérim Seck, a confié à ses proches : « Je l’aurais fusillé s’il m’était à porte de main ». Selon le journal, le père de la victime est si amer qu’il n’a pas cédé aux pressions de hautes personnes et entend poursuivre l’affaire jusqu’au bout. Même le Premier ministre qui doit faire sa Dpg aujourd’hui, serait intervenu pour tirer Cheikh Yérim d’affaire mais s’est vu opposer une fin de non recevoir.
Serigne Seck
Serigne Seck