« Je n’ai plus rien à prouver à personne. A 30 ans, j’ai assez d’expérience et de compétition, pour pouvoir tenir mon rang. Mon objectif n’est plus d’être le meilleur gardien au Sénégal, mais, c’est peine perdu. J’ai déjà démontré de quoi je suis capable. Je n’ai rien à dire sur la titularisation de Mané. J’étais le numéro naturel. Ce sont les sénégalais qui le disaient. Mais l’entraineur a fait son choix, je peux ne pas être d’accord avec lui mais je le respecte », laisse-t-il entendre dans un entretien accordé à L’observateur.
« J’aurais du mal à expliquer pourquoi je me suis retrouvé sur le banc. Mais je n’ai rien à me reprocher », confie Bouna Coundoul. Et d’ajouter : « En terme d’expérience au Sénégal, a part Tony Sylva il n’y a pas de gardien de but plus expérimenté que moi. On ne m’a jamais fait de reproche en équipe nationale, même pendant les matches décisifs. En plus personne ne m’a aidé à venir en équipe nationale. J’ai travaillé dur pour mériter ma sélection ».
Selon Bouna Coundoul, « Il n’y a pas eu de bras long dans ma carrière en équipe nationale. Je dois mes sélections à mes performances en club. Malheureusement, il y a parfois des « bras long ». C’est un handicap sérieux pour le football africain. »
Le gardien de but sénégalais confie qu’il se dit toujours N°1 dans sa tête. Chose qu’il a « prouvé sur le terrain ». Toutefois, Bouna n’arrive toujours pas à comprendre pourquoi Koto l’a mis sur le banc durant les deux derniers matches des lions.
« J’aurais du mal à expliquer pourquoi je me suis retrouvé sur le banc. Mais je n’ai rien à me reprocher », confie Bouna Coundoul. Et d’ajouter : « En terme d’expérience au Sénégal, a part Tony Sylva il n’y a pas de gardien de but plus expérimenté que moi. On ne m’a jamais fait de reproche en équipe nationale, même pendant les matches décisifs. En plus personne ne m’a aidé à venir en équipe nationale. J’ai travaillé dur pour mériter ma sélection ».
Selon Bouna Coundoul, « Il n’y a pas eu de bras long dans ma carrière en équipe nationale. Je dois mes sélections à mes performances en club. Malheureusement, il y a parfois des « bras long ». C’est un handicap sérieux pour le football africain. »
Le gardien de but sénégalais confie qu’il se dit toujours N°1 dans sa tête. Chose qu’il a « prouvé sur le terrain ». Toutefois, Bouna n’arrive toujours pas à comprendre pourquoi Koto l’a mis sur le banc durant les deux derniers matches des lions.