La mosquée de Wakhinane dans le département de Pikine est sur le point d’être ré-ouverte. Mais la décision ne fait pas l’unanimité chez les fidèles. Regroupés dans la commission de gestion de l’édifice religieux, les anti ouverture de la Mosquée, réclament sa reconstruction, afin d’éviter qu’un drame s’y produise à cause de la vétusté du bâtiment.
Pour ceux qui sont pour la réouverture et qui disent ne plus continuer à regarder le lieu toujours être fermé, leurs antagonistes les présentent comme des membres d’une association de la mosquée qui, pour la plupart, sont maintenant à l’étranger ou ont déménagé du quartier.
Pour les anti ouverture, ceux qui se démènent pour que la mosquée reprenne service, ignorent l’état de délabrement avancé du bâtiment, qui menace de s’écrouler à tout moment.
À l’appui de leur position, ils soutiennent avoir rencontré le président de l’Association des imans et oulémas du Sénégal, El hadji Moustapha Guèye, acquis à leur cause ainsi que le président de l’Association des imams de Pikine-Guédiawaye-Keur Massar, iman El hadji Malick Niang.
La mosquée de Wakhinane a fait, durant sa fermeture, l’objet d’un rapport de la Direction de la Protection civile. Un document qui a été remis à l’autorité, qui avait ordonné la réparation du bâtiment à défaut de sa reconstruction. Avec un rez-de chaussée sous deux étages, la mosquée n’a qu’une seule issue qui sert d’entrée et de sortie des fidèles. Elle a été construite depuis 1947 et a abrité sa première prière, en 1964.
Si la reconstruction de la mosquée ou sa réfection est sollicitée par les membres de la commission, qui disent avoir été écartés des tractations pour sa réouverture, c’est parce, arguent-ils, toutes les mosquées qui ont le même âge que celle de leur quartier, ont été reconstruites.
Ils font savoir face à l’imam qui se prévoit du droit d’héritage sur le lieu de culte, qu’une mission de la Protection civile ainsi qu’une autre de la Direction de la surveillance des constructions et de l’occupation du sol (Dscos), de passage, a fait un rapport remis au sous-préfet de Pikine d’alors et au maire de Pikine Est, qui avaient reconnu la nécessité d’une reconstruction ou à défaut, de procéder à des réparations d’envergure pour la sécurité des personnes qui fréquentent les lieux.
Pour l’instant, à Wakhinane, les deux camps se vouent une adversité ouverte. Chaque groupe campe sur sa position, prêt à l’affrontement.
Tribune
Pour ceux qui sont pour la réouverture et qui disent ne plus continuer à regarder le lieu toujours être fermé, leurs antagonistes les présentent comme des membres d’une association de la mosquée qui, pour la plupart, sont maintenant à l’étranger ou ont déménagé du quartier.
Pour les anti ouverture, ceux qui se démènent pour que la mosquée reprenne service, ignorent l’état de délabrement avancé du bâtiment, qui menace de s’écrouler à tout moment.
À l’appui de leur position, ils soutiennent avoir rencontré le président de l’Association des imans et oulémas du Sénégal, El hadji Moustapha Guèye, acquis à leur cause ainsi que le président de l’Association des imams de Pikine-Guédiawaye-Keur Massar, iman El hadji Malick Niang.
La mosquée de Wakhinane a fait, durant sa fermeture, l’objet d’un rapport de la Direction de la Protection civile. Un document qui a été remis à l’autorité, qui avait ordonné la réparation du bâtiment à défaut de sa reconstruction. Avec un rez-de chaussée sous deux étages, la mosquée n’a qu’une seule issue qui sert d’entrée et de sortie des fidèles. Elle a été construite depuis 1947 et a abrité sa première prière, en 1964.
Si la reconstruction de la mosquée ou sa réfection est sollicitée par les membres de la commission, qui disent avoir été écartés des tractations pour sa réouverture, c’est parce, arguent-ils, toutes les mosquées qui ont le même âge que celle de leur quartier, ont été reconstruites.
Ils font savoir face à l’imam qui se prévoit du droit d’héritage sur le lieu de culte, qu’une mission de la Protection civile ainsi qu’une autre de la Direction de la surveillance des constructions et de l’occupation du sol (Dscos), de passage, a fait un rapport remis au sous-préfet de Pikine d’alors et au maire de Pikine Est, qui avaient reconnu la nécessité d’une reconstruction ou à défaut, de procéder à des réparations d’envergure pour la sécurité des personnes qui fréquentent les lieux.
Pour l’instant, à Wakhinane, les deux camps se vouent une adversité ouverte. Chaque groupe campe sur sa position, prêt à l’affrontement.
Tribune