Le contentieux porte sur un quota de plus de 1500 parcelles que le guide religieux aurait affectées à ces talibés depuis 2007. Ces disciples de feu Cheikh Béthio ont fait face à la presse pour alerter sur la gestion foncière.
«Des prédateurs fonciers ont loti des parcelles de 300 mètres carrés pour vendre les terrains à des particuliers avec actes administratifs à l’appui, là où aucun arrêté n'a été sorti pour annuler le lotissement initial de Serigne Béthio, ce qui est un délit majeur», déclare Abdoulaye Maal, secrétaire général du collectif pour l’émergence de Madinatou Salam.
Il invite le chef de l’État à décanter cette situation, faute d’accord avec l’autorité municipale.
«Le collectif a saisi plusieurs fois le maire de Malicounda sans succès. Nous interpellons directement le Président Bassirou Diomaye Faye. La population est menacée de déguerpissement, d'arrestation, de démolition, d'arrêt de travaux. Les litiges s'articulent autour de plus de 1500 parcelles, sur un nombre de 3425 parcelles recensées», ajoute-t-il.
Outre cette question foncière, le collectif déplore le manque d'infrastructures sociales de base à Madinatou Salam, notamment un marché, un centre de santé ou encore de bonnes installations hydrauliques
«Des prédateurs fonciers ont loti des parcelles de 300 mètres carrés pour vendre les terrains à des particuliers avec actes administratifs à l’appui, là où aucun arrêté n'a été sorti pour annuler le lotissement initial de Serigne Béthio, ce qui est un délit majeur», déclare Abdoulaye Maal, secrétaire général du collectif pour l’émergence de Madinatou Salam.
Il invite le chef de l’État à décanter cette situation, faute d’accord avec l’autorité municipale.
«Le collectif a saisi plusieurs fois le maire de Malicounda sans succès. Nous interpellons directement le Président Bassirou Diomaye Faye. La population est menacée de déguerpissement, d'arrestation, de démolition, d'arrêt de travaux. Les litiges s'articulent autour de plus de 1500 parcelles, sur un nombre de 3425 parcelles recensées», ajoute-t-il.
Outre cette question foncière, le collectif déplore le manque d'infrastructures sociales de base à Madinatou Salam, notamment un marché, un centre de santé ou encore de bonnes installations hydrauliques