En s’exprimant sur cette question à l’occasion de la journée portes ouvertes du Crcf en présence des autorités de l’hôpital et des spécialistes sur les maladies infectieuses, le Pr Salif Sow estime que l’infection du cancer du col se détecte précocement entre la tranche d’âge de 15 à 17 ans et avance progressivement dans l’organisme jusqu’à 40 ans avant de se manifester. Autrement dit une infection silencieuse dont plusieurs femmes adultes actuelles sont atteintes sans s’en rendre compte.
C’est donc un grand espoir pour quelques jeunes filles triées au volet, de ne pas contacter dans leurs vies le cancer du col de l’utérus ou de mourir de cette maladie qui touche 500.000 nouveaux cas par an et dont les 270.000 décèdent. Plus précisément, toutes les deux minutes, une femme meurt de cette maladie purement féminine a t-il fait remarquer. Une situation alarmante dont les recherches aient abouti à un vaccin, afin que les jeunes filles dans le monde puissent éviter ce mal.
C’est pour protéger la génération future, qu’il faudra vacciner les jeunes filles afin qu’elles ne développement plus cette infection. Le vaccin qui se prend en trois doses n’est pas encore évalué dans les pays africains a fait remarquer le Pr Salif Sow. Mais déjà des résultats probants ont montré que dès la prise de la première dose la personne est en protection à 70 %, à la deuxième dose, elle passe à 80 % et 100 % à la troisième prise. Au Sénégal 92,3% des filles retenues pour prendre ce vaccin ont pu recevoir les trois doses.
C’est pour cela le Pr Sow a dit que globalement les essais sont satisfaits et que certainement ces filles n’attraperont pas de cancer du col de l’utérus. C’est pourquoi il demande aux autorités de faire un fort plaidoyer pour la mise en disponibilité de ce vaccin dont le coût des trois doses atteint 182.000 F Cfa et n’est pas à la portée de n’importe qu’elle bourse. Il s’agit donc de pousser les bailleurs du fonds à la mise en disposition gratuite de ce vaccin afin de réduire le fardeau. Ce qui va permettra aux jeunes filles d’être protégées avant les premiers rapports sexuels.
Des présentations et études intéressantes sur le sida et la décentralisation des anti rétroviraux (Arv), l’essai vaccinal de la tuberculose, le paludisme et autres infections ont été faites hier dans le cadre de ces portes ouvertes du centre qui constitue une plateforme de recherche clinique et de formation située dans l’enceinte du service des maladies infectieuses de l’Hôpital de Fann inauguré en 2005.
C’est donc un grand espoir pour quelques jeunes filles triées au volet, de ne pas contacter dans leurs vies le cancer du col de l’utérus ou de mourir de cette maladie qui touche 500.000 nouveaux cas par an et dont les 270.000 décèdent. Plus précisément, toutes les deux minutes, une femme meurt de cette maladie purement féminine a t-il fait remarquer. Une situation alarmante dont les recherches aient abouti à un vaccin, afin que les jeunes filles dans le monde puissent éviter ce mal.
C’est pour protéger la génération future, qu’il faudra vacciner les jeunes filles afin qu’elles ne développement plus cette infection. Le vaccin qui se prend en trois doses n’est pas encore évalué dans les pays africains a fait remarquer le Pr Salif Sow. Mais déjà des résultats probants ont montré que dès la prise de la première dose la personne est en protection à 70 %, à la deuxième dose, elle passe à 80 % et 100 % à la troisième prise. Au Sénégal 92,3% des filles retenues pour prendre ce vaccin ont pu recevoir les trois doses.
C’est pour cela le Pr Sow a dit que globalement les essais sont satisfaits et que certainement ces filles n’attraperont pas de cancer du col de l’utérus. C’est pourquoi il demande aux autorités de faire un fort plaidoyer pour la mise en disponibilité de ce vaccin dont le coût des trois doses atteint 182.000 F Cfa et n’est pas à la portée de n’importe qu’elle bourse. Il s’agit donc de pousser les bailleurs du fonds à la mise en disposition gratuite de ce vaccin afin de réduire le fardeau. Ce qui va permettra aux jeunes filles d’être protégées avant les premiers rapports sexuels.
Des présentations et études intéressantes sur le sida et la décentralisation des anti rétroviraux (Arv), l’essai vaccinal de la tuberculose, le paludisme et autres infections ont été faites hier dans le cadre de ces portes ouvertes du centre qui constitue une plateforme de recherche clinique et de formation située dans l’enceinte du service des maladies infectieuses de l’Hôpital de Fann inauguré en 2005.