Il est fréquent de lire dans la presse ou d’entendre à la radio « Maître Abdoulaye Wade ». Il ne plaide plus, mais il tient à son « maître » comme à la prunelle de ses yeux. Comme le « Maître des Cieux », il détient « le droit de vie et de mort » sur tous les militants du Parti Démocratique Sénégalais (Pds). Il peut les chasser du « monde bleu » à tout moment. Wade est le « maître du jeu et du ‘‘je’’ ». Ses « créatures » parlent toujours « sous sa vision éclairée », mettent en exergue ses « projets » et récitent ses « idées » comme des versets démocratiques.
Le dieu Wade, à l’image du vrai Dieu, « crée ». Un jour, il a révélé à l’opinion qu’il avait « créé » le « prophète » Idrissa Seck. «Je suis quand même son père», déclare Wade, le dieu, le père. C’était lors d’une retrouvaille avec le « fils » Idrissa Seck. Le père ajoute : « Je lui ai demandé de revenir à mes côtés. J'estime que compte tenu de ce que nous nous sommes dits et de notre passé, je suis quand même le père. (…) J’ai fait mon devoir de toujours rassembler les fils quelque soit ce qu'on puisse leur reprocher. » Idy le fils maîtrise bien les recommandations du père Wade. On peut dire que c’est une « créature » sous la coupe de son « maître créateur ». Un « prophète » qui, à l’instar du vrai Prophète, répond à ses détracteurs par des versets coraniques. Et il arrive toujours à « contextualiser » ses prouesses ou échecs politiques par rapport au parcours du Sceau des Prophètes. Lors de cette fameuse retrouvaille, au mois de février 2009, il avait simplement déclaré : «Je me réjouis de la fin de mon exil». Notons tout simplement que l’exil du fils est comparé à l’Hégire du Prophète. Le Pds c’est la Mecque et le parti Rewmi c’est Médine. Le retour d’exil Rewmi-Pds est le celui du Prophète Médine-Mecque.
Le fils ou encore le prophète Idy, le 26 avril 2004, lorsqu’il la station primatoriale que son « père » lui avait confiée, répondait aux attaques d’Ousmane Ngom, l’autre « créature » du dieu Wade : « Pour toutes les attaques dont je fais l'objet, j'ai toujours la même attitude. Elle ne changera pas. Je me conforme à la prescription divine contenue dans la sourate 68, " La Plume " verset 9 à 13. Faites l'effort de la lire et vous aurez ma réponse. » La réponse du « prophète » fut terrible et fracassante.
Aujourd’hui, le « fils » conteste la « divinité » du « père » pour l’élection à un troisième niveau « divin ». Le « fils » veut devenir « père » mais le « père » veut rester « père » éternellement. Les « sages juges » du Conseil constitutionnel, avec un « saint-esprit », départageront les deux créatures divines au nom du « père » et du « fils ». Amen !
Thiedo
Le dieu Wade, à l’image du vrai Dieu, « crée ». Un jour, il a révélé à l’opinion qu’il avait « créé » le « prophète » Idrissa Seck. «Je suis quand même son père», déclare Wade, le dieu, le père. C’était lors d’une retrouvaille avec le « fils » Idrissa Seck. Le père ajoute : « Je lui ai demandé de revenir à mes côtés. J'estime que compte tenu de ce que nous nous sommes dits et de notre passé, je suis quand même le père. (…) J’ai fait mon devoir de toujours rassembler les fils quelque soit ce qu'on puisse leur reprocher. » Idy le fils maîtrise bien les recommandations du père Wade. On peut dire que c’est une « créature » sous la coupe de son « maître créateur ». Un « prophète » qui, à l’instar du vrai Prophète, répond à ses détracteurs par des versets coraniques. Et il arrive toujours à « contextualiser » ses prouesses ou échecs politiques par rapport au parcours du Sceau des Prophètes. Lors de cette fameuse retrouvaille, au mois de février 2009, il avait simplement déclaré : «Je me réjouis de la fin de mon exil». Notons tout simplement que l’exil du fils est comparé à l’Hégire du Prophète. Le Pds c’est la Mecque et le parti Rewmi c’est Médine. Le retour d’exil Rewmi-Pds est le celui du Prophète Médine-Mecque.
Le fils ou encore le prophète Idy, le 26 avril 2004, lorsqu’il la station primatoriale que son « père » lui avait confiée, répondait aux attaques d’Ousmane Ngom, l’autre « créature » du dieu Wade : « Pour toutes les attaques dont je fais l'objet, j'ai toujours la même attitude. Elle ne changera pas. Je me conforme à la prescription divine contenue dans la sourate 68, " La Plume " verset 9 à 13. Faites l'effort de la lire et vous aurez ma réponse. » La réponse du « prophète » fut terrible et fracassante.
Aujourd’hui, le « fils » conteste la « divinité » du « père » pour l’élection à un troisième niveau « divin ». Le « fils » veut devenir « père » mais le « père » veut rester « père » éternellement. Les « sages juges » du Conseil constitutionnel, avec un « saint-esprit », départageront les deux créatures divines au nom du « père » et du « fils ». Amen !
Thiedo