Sous la supervision du ministre de l’Intérieur, Ousmane Ngom, un nouveau plan diabolique concocté au Palais est en cours de déroulement pour prendre à la faute tout candidat à la présidentielle qui ne saurait en tenir compte. Il s’agit au mieux de limiter les capacités financières des opposants et au pire d’évoquer des doutes sur l’origine licite du financement de leur campagne électorale pour les écarter définitivement de la course à la présidentielle.
Le journal l’Observateur révèle d’ailleurs que ce sont les services secrets du pays qui sont activés pour traquer l’origine des fonds de campagne des opposants à Wade. Les candidats sérieux ciblés tout comme leurs amis et leurs parents, sont suivis dans leurs moindres déplacements aussi bien au Sénégal qu’à l’intérieure du pays. Le but est de cerner les accointances susceptibles de leur apporter des soutiens financiers ou de leur apporter des garanties dans les institutions financières. Les préposés à la filature qui auront trouvé des pistes intéressantes à exploiter doivent transmettre les données à leurs mandataires du Palais et de la Primature. Il reviendra alors à ces mandataires de faire usage de moyens tenus secrets et avec des partenaires très introduits dans les circuits financiers pour traquer les mouvements de fonds des opposants de Wade qui seront candidats à la présidentielle. Le but est de lier des transactions financières à du blanchiment d’argent pour déclencher une procédure judiciaire excluant de facto le mis en cause de la course à la présidentielle.
L’autre plan du pouvoir consiste à restreindre la délivrance du permis du port d’arme et de détention d’arme pour limiter le dispositif sécuritaire des candidats ciblés afin d’installer la psychose et la peur dans leur camp.
Alors qu’Abdoulaye Wade use et abuse des moyens et de l’appareil d’Etat pour sa campagne électorale permanente lancée depuis trois ans, en voilà des méthodes duvaliéristes indignes du Sénégal de ce siècle. L’opposition est avertie.
Frédéric TENDENG, Seninfos.com
Le journal l’Observateur révèle d’ailleurs que ce sont les services secrets du pays qui sont activés pour traquer l’origine des fonds de campagne des opposants à Wade. Les candidats sérieux ciblés tout comme leurs amis et leurs parents, sont suivis dans leurs moindres déplacements aussi bien au Sénégal qu’à l’intérieure du pays. Le but est de cerner les accointances susceptibles de leur apporter des soutiens financiers ou de leur apporter des garanties dans les institutions financières. Les préposés à la filature qui auront trouvé des pistes intéressantes à exploiter doivent transmettre les données à leurs mandataires du Palais et de la Primature. Il reviendra alors à ces mandataires de faire usage de moyens tenus secrets et avec des partenaires très introduits dans les circuits financiers pour traquer les mouvements de fonds des opposants de Wade qui seront candidats à la présidentielle. Le but est de lier des transactions financières à du blanchiment d’argent pour déclencher une procédure judiciaire excluant de facto le mis en cause de la course à la présidentielle.
L’autre plan du pouvoir consiste à restreindre la délivrance du permis du port d’arme et de détention d’arme pour limiter le dispositif sécuritaire des candidats ciblés afin d’installer la psychose et la peur dans leur camp.
Alors qu’Abdoulaye Wade use et abuse des moyens et de l’appareil d’Etat pour sa campagne électorale permanente lancée depuis trois ans, en voilà des méthodes duvaliéristes indignes du Sénégal de ce siècle. L’opposition est avertie.
Frédéric TENDENG, Seninfos.com