« Nous, patriote du Sénégal, mus par une volonté inébranlable de protéger notre pays et ses institutions, conscients que le forcing du président Wade pour un troisième mandat constitue une violation flagrante de la Constitution et un acte délibéré de haute trahison qu’il faut confronter par tous les moyens nécessaires, déclarons notre volonté de nous joindre à ce combat citoyen ». C’est en substance ce qu’on peut lire dans la pétition nationale contre un troisième mandat de Wade lancée hier, jeudi 25 novembre par l’Union nationale des indépendants du Sénégal (Unis). Amadou Guéye, Président dudit mouvement et ses camarades qui faisaient face à la presse au sein de leur siège sis à Sacré cœur, entendent ainsi apporter une réponse politique à cette « violation » en mobilisant trois à quatre millions de signatures pour contraindre Wade à retirer sa candidature. Parce que, disent-ils, « on est plus réellement dans un contentieux juridique dans la mesure où Wade lui-même a déclaré l’irrecevabilité de sa candidature parce que la constitution lui barre la route ».
Pour les « indépendants », « c’est une réponse politique qu’il faut apporter à cette question politique ». Amadou Guéye et ses camarades refusent « de cautionner tout artifice juridique pour faire avaliser cette candidature quelle que soit l’instance juridique ou parlementaire qui sera instrumentalisée pour cela ». Ils « tirent ainsi la sonnette d’alarme pour avertir les citoyens, amis et partenaires du Sénégal sur les risques suscités par cette candidature illégale ».
Dans le même sillage, ils « demandent à l’Assemblée nationale d’interpeller le président Abdoulaye Wade pour lui demander de renier sa candidature au risque d’être poursuivi pour trahison devant la haute cour de justice ». Parce que, fulminent-ils, « si nous étions dans un pays où les institutions marchent comme il faut, Wade sera interpellé par le parlement ». Les « indépendants » appellent également à préparer une mobilisation de plus d’un million de citoyens prêts à siéger devant le conseil constitutionnel et l’Assemblée nationale le jour. Car, disent-ils, « si le président Wade est prêt à défier la Constitution, il faut être prêt à défier son autorité ». Outre le plan national, les « indépendants » comptent également internationaliser ce combat. Ces derniers se disent en voie vers la « Révolution orange » qui, selon eux, « est un esprit d’éveil des populations » qui va succéder la première phase qui consistait à informer les populations sur l’irrecevabilité de la candidature de Me Wade en 2012.
Les indépendants se sont en dernier lieu félicité du fait que ce même débat sur l’irrecevabilité de la candidature de Me Wade en 2012 soit posé au sein du Parti démocratique Sénégalais (Pds) avec la récente sortie d’Idrissa Seck, l’ex-premier ministre de Wade.
Pour les « indépendants », « c’est une réponse politique qu’il faut apporter à cette question politique ». Amadou Guéye et ses camarades refusent « de cautionner tout artifice juridique pour faire avaliser cette candidature quelle que soit l’instance juridique ou parlementaire qui sera instrumentalisée pour cela ». Ils « tirent ainsi la sonnette d’alarme pour avertir les citoyens, amis et partenaires du Sénégal sur les risques suscités par cette candidature illégale ».
Dans le même sillage, ils « demandent à l’Assemblée nationale d’interpeller le président Abdoulaye Wade pour lui demander de renier sa candidature au risque d’être poursuivi pour trahison devant la haute cour de justice ». Parce que, fulminent-ils, « si nous étions dans un pays où les institutions marchent comme il faut, Wade sera interpellé par le parlement ». Les « indépendants » appellent également à préparer une mobilisation de plus d’un million de citoyens prêts à siéger devant le conseil constitutionnel et l’Assemblée nationale le jour. Car, disent-ils, « si le président Wade est prêt à défier la Constitution, il faut être prêt à défier son autorité ». Outre le plan national, les « indépendants » comptent également internationaliser ce combat. Ces derniers se disent en voie vers la « Révolution orange » qui, selon eux, « est un esprit d’éveil des populations » qui va succéder la première phase qui consistait à informer les populations sur l’irrecevabilité de la candidature de Me Wade en 2012.
Les indépendants se sont en dernier lieu félicité du fait que ce même débat sur l’irrecevabilité de la candidature de Me Wade en 2012 soit posé au sein du Parti démocratique Sénégalais (Pds) avec la récente sortie d’Idrissa Seck, l’ex-premier ministre de Wade.