Le Centre des Œuvres Universitaires de Dakar, COUD, tient à préciser, à la suite des évènements de ce mercredi que : « la décision de fermer le campus à compter du 26 octobre 2012 d’un commun accord avec le collectif des amicales légalement renouvelées (FASEG, Faculté de Médecine et la Coordination des Ecoles et Instituts) a été prise sur la base des calendriers des examens, communiqués au COUD par les autorités des différentes facultés de l’UCAD. Si la fermeture du campus pour des besoins de réfection intervenait traditionnellement vers mi-août, cette année, elle a été retardée compte tenu des perturbations consécutives aux nombreuses grèves qui ont occasionné un réaménagement du calendrier universitaire. L’idée de la démolition des pavillons cités plus haut n’émane pas de la direction du COUD. Elle fait suite à une mission d’inspection de la Protection Civile dont les résultats indiquent que ces pavillons n’offrent plus les garanties de sécurité pour accueillir des vies humaines ».
Le COUD dont la mission est aussi de veiller à la l’intégrité physique de chaque étudiant n’est pas resté insensible devant de telles recommandations. Il a dès lors entrepris des démarches pour l’évacuation des pavillons concernés dans les meilleures conditions parce que convaincu que la vie humaine est sacrée.
En vertu de toutes ces considérations, le COUD ne saurait accepter de tels écarts et se réserve le droit de donner suite à ces destructions préméditées du bien public.
Comme par le passé, la direction de l’institution réaffirme sa disponibilité à dialoguer avec qui de droit, dans le respect et la discipline, pour la préservation du climat social.
Ferloo.com
Le COUD dont la mission est aussi de veiller à la l’intégrité physique de chaque étudiant n’est pas resté insensible devant de telles recommandations. Il a dès lors entrepris des démarches pour l’évacuation des pavillons concernés dans les meilleures conditions parce que convaincu que la vie humaine est sacrée.
En vertu de toutes ces considérations, le COUD ne saurait accepter de tels écarts et se réserve le droit de donner suite à ces destructions préméditées du bien public.
Comme par le passé, la direction de l’institution réaffirme sa disponibilité à dialoguer avec qui de droit, dans le respect et la discipline, pour la préservation du climat social.
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