‘’Les gens n’ont pas la culture de la recherche. C’est dommage qu’on ait plus d’écoles pour former les comédiens. Les gens veulent tout être à la fois. Il faut qu’on accepte de se compléter’’, a-t-il dit dans un entretien paru dans le quotidien du week-end de 24 heures Chrono.
Selon le comédien, l’impression selon laquelle les artistes sénégalais font plus de la bouffonnerie actuellement que du théâtre, s’explique par le fait que ‘’les gens sont de plus en plus obnubilés par l’argent et le succès’’.
‘’Or, ce n’est pas la vocation du théâtre. Les gens sont trop pressés. La carrière d’un artiste est plus importante que tout cela’’, ajoute Ibrahima Mbodj, pensionnaire de la mythique troupe théâtrale ‘’Daaray Kocc’’, où il a popularisé le personnage de Lamarana, portrait du Guinéen moyen.
‘’Ils font l’amalgame entre les genres’’, a-t-il encore déclaré en parlant de ces comédiens d’un genre nouveau plus intéressés par le show que par les exigences du théâtre. ‘’Le théâtre c’est différent de ce qu’on a l’habitude de voir à la télévision. Tout cela est dû à un problème de formation’’.
‘’Dans tous corps de métier il y a des brebis galeuses. Mais les professionnels le resteront toujours. Tous ceux qui veulent faire du théâtre pour se faire remarquer ou pour d’autres fins matérielles, ils ont intérêt à choisir un autre métier parce que tout simplement, ils ne parviennent pas à leurs objectifs’’, a fait valoir l’artiste.
‘’Le théâtre ce n’est pas pour faire du voyeurisme. Tous ceux qui détournent le théâtre de sa vocation, la plupart du temps sont voués à l’échec. Ces gens-là ne méritent même pas de porter le nom d’artiste-comédien car ils ne le sont pas. Ce sont des arrivistes dans le métier’’, a soutenu Lamarana.
Parlant de la starisation et des célébrités en particulier, il a poursuivi : ‘’Je n’aime pas ce mot. Je fais mon métier, je suis un comédien. Je remplis une mission, c’est comme ça que je pourrais l’appeler. C’est Dieu qui m’a donné une mission pour que je fasse plaisir à mes concitoyens’’.
‘’On ne force pas le succès. Encore une fois respectons le public et proposons leur le meilleur qui soit’’, a poursuivi Lamarana qui dit aimer ‘’beaucoup le cinéma’’. ‘’C’est dans mes projets, mais je ne suis pas pressé dans ce que je fais’’, a-t-il indiqué.
Selon le comédien, l’impression selon laquelle les artistes sénégalais font plus de la bouffonnerie actuellement que du théâtre, s’explique par le fait que ‘’les gens sont de plus en plus obnubilés par l’argent et le succès’’.
‘’Or, ce n’est pas la vocation du théâtre. Les gens sont trop pressés. La carrière d’un artiste est plus importante que tout cela’’, ajoute Ibrahima Mbodj, pensionnaire de la mythique troupe théâtrale ‘’Daaray Kocc’’, où il a popularisé le personnage de Lamarana, portrait du Guinéen moyen.
‘’Ils font l’amalgame entre les genres’’, a-t-il encore déclaré en parlant de ces comédiens d’un genre nouveau plus intéressés par le show que par les exigences du théâtre. ‘’Le théâtre c’est différent de ce qu’on a l’habitude de voir à la télévision. Tout cela est dû à un problème de formation’’.
‘’Dans tous corps de métier il y a des brebis galeuses. Mais les professionnels le resteront toujours. Tous ceux qui veulent faire du théâtre pour se faire remarquer ou pour d’autres fins matérielles, ils ont intérêt à choisir un autre métier parce que tout simplement, ils ne parviennent pas à leurs objectifs’’, a fait valoir l’artiste.
‘’Le théâtre ce n’est pas pour faire du voyeurisme. Tous ceux qui détournent le théâtre de sa vocation, la plupart du temps sont voués à l’échec. Ces gens-là ne méritent même pas de porter le nom d’artiste-comédien car ils ne le sont pas. Ce sont des arrivistes dans le métier’’, a soutenu Lamarana.
Parlant de la starisation et des célébrités en particulier, il a poursuivi : ‘’Je n’aime pas ce mot. Je fais mon métier, je suis un comédien. Je remplis une mission, c’est comme ça que je pourrais l’appeler. C’est Dieu qui m’a donné une mission pour que je fasse plaisir à mes concitoyens’’.
‘’On ne force pas le succès. Encore une fois respectons le public et proposons leur le meilleur qui soit’’, a poursuivi Lamarana qui dit aimer ‘’beaucoup le cinéma’’. ‘’C’est dans mes projets, mais je ne suis pas pressé dans ce que je fais’’, a-t-il indiqué.