Il y’a de cela bientôt 10 ans, Maam Cheikh Ahmet Tijaan Sy mettait en garde les journalistes en ces termes « prenez en compte votre responsabilité ; facilement vous pouvez passer du statut de prophète à celui de démon ». Ce matin, nombreux sont les Sénégalais qui ont suivi le Mawlid et qui ont « tremblé » en lisant les idioties écrites par ce fabulateur qui signe avec ces lettres CYS. En effet, en voulant trop jouer sur « l’hyperémotion » pour emprunter ce terme à Ignacio Ramonet, le Directeur de Dakaractu a oublié le b.a.- ba du journalisme. Yérim Seck, s’il a bien retenu ses leçons devrait savoir que tous les textes qui régissent son métier, depuis la première charte des devoirs professionnels des journalistes jusqu’à nos jours, postulent que le journaliste « doit considérer la calomnie, les accusations sans preuves, la déformation des faits et le mensonge comme les plus graves fautes professionnelles ».
CYS, sans vouloir lui donner de leçon comme il prétend le faire tout le temps , doit savoir que son procédé est l’apanage des journaux d’une presse démagogique qui joue facilement avec le sensationnel, le spectaculaire et le choc émotionnel. En outre, en essayant de tremper sa plume, ou mieux les touches de son clavier, dans le pathétique, il prétendait entrer dans ce secret pour ne pas dire ce mystère qui fascine encore les Sénégalais : Al Maktoum . Le comble de cette triste tâche en est que même après été retouché de manière lamentable, l’article garde encore les séquelles de cette honteuse pratique qui n’honore pas ce noble métier.
En prenant la distance qu’exige la diffusion de l’information je rappelle à Cheikh Yérim Seck que le messianisme médiatique n’est pas synonyme de « scoop fabriqué ». Les repères déontologiques du journalisme, les frontières de ses genres (l’information rapportée, l’information expliquée, l’information commentée…) les formats médiatiques demandent une certaine rigueur mais surtout une éthique ; c'est-à-dire une morale individualisée. En d’autres mots, en voulant jouer sur la « spirale du silence » CYS oublie qu’il existe une race d’homme qui sait distinguer le prophète du démon.
Dans ce même sillage, même si Maam Cheikh restait 20 ans sans venir au « Champs des courses » notre amour envers lui et notre confiance resteraient intacts. Ses sages paroles guideront toujours nos actes ; car il a réussi cette mission qui consiste à rendre extraordinaire l’œuvre des gens ordinaires que nous sommes pour reprendre les paroles de Serigne Moustapha Sy au lendemain de Mawlid.
Par ailleurs, tous les analystes politiques avertis, tous les journalises soucieux des règles élémentaires de leur métier ; bref tous les hommes de bonne foi savent que ceux sont les politiques qui ont besoin de Maam Cheikh Ahmed Tidiane Sy et non le contraire. Dans l’Histoire politique de ce pays et avant même cela dans celle de l’AOF il a toujours été un acteur et non pas un simple spectateur.
En fin, je rappelle à Cheikh Yérim Seck que je suis capable de lui rappeler toutes ses bévues de ses premiers pas de Louga à Dakar en passant par le dernier pallier du G2 A de l’UGB mais aussi à Conakry sans oublier ses rapports pécuniaires avec certains minables hommes politiques africains quant il était à Jeune Afrique, ses audiences au Palais de la République et les « cadeaux » de paisibles citoyens qu’il menaçait avec sa plume et aujourd’hui avec les touches de son ordinateur…
Pour savoir ma source, en tant que petit fils de ce mystique qu’est Al Maktoum, je lui demande de lire la sourate 27 surtout du verset 21 au 31.
Sahite Gaye, Commission Scolaire Universitaire DMWM Ouest France
CYS, sans vouloir lui donner de leçon comme il prétend le faire tout le temps , doit savoir que son procédé est l’apanage des journaux d’une presse démagogique qui joue facilement avec le sensationnel, le spectaculaire et le choc émotionnel. En outre, en essayant de tremper sa plume, ou mieux les touches de son clavier, dans le pathétique, il prétendait entrer dans ce secret pour ne pas dire ce mystère qui fascine encore les Sénégalais : Al Maktoum . Le comble de cette triste tâche en est que même après été retouché de manière lamentable, l’article garde encore les séquelles de cette honteuse pratique qui n’honore pas ce noble métier.
En prenant la distance qu’exige la diffusion de l’information je rappelle à Cheikh Yérim Seck que le messianisme médiatique n’est pas synonyme de « scoop fabriqué ». Les repères déontologiques du journalisme, les frontières de ses genres (l’information rapportée, l’information expliquée, l’information commentée…) les formats médiatiques demandent une certaine rigueur mais surtout une éthique ; c'est-à-dire une morale individualisée. En d’autres mots, en voulant jouer sur la « spirale du silence » CYS oublie qu’il existe une race d’homme qui sait distinguer le prophète du démon.
Dans ce même sillage, même si Maam Cheikh restait 20 ans sans venir au « Champs des courses » notre amour envers lui et notre confiance resteraient intacts. Ses sages paroles guideront toujours nos actes ; car il a réussi cette mission qui consiste à rendre extraordinaire l’œuvre des gens ordinaires que nous sommes pour reprendre les paroles de Serigne Moustapha Sy au lendemain de Mawlid.
Par ailleurs, tous les analystes politiques avertis, tous les journalises soucieux des règles élémentaires de leur métier ; bref tous les hommes de bonne foi savent que ceux sont les politiques qui ont besoin de Maam Cheikh Ahmed Tidiane Sy et non le contraire. Dans l’Histoire politique de ce pays et avant même cela dans celle de l’AOF il a toujours été un acteur et non pas un simple spectateur.
En fin, je rappelle à Cheikh Yérim Seck que je suis capable de lui rappeler toutes ses bévues de ses premiers pas de Louga à Dakar en passant par le dernier pallier du G2 A de l’UGB mais aussi à Conakry sans oublier ses rapports pécuniaires avec certains minables hommes politiques africains quant il était à Jeune Afrique, ses audiences au Palais de la République et les « cadeaux » de paisibles citoyens qu’il menaçait avec sa plume et aujourd’hui avec les touches de son ordinateur…
Pour savoir ma source, en tant que petit fils de ce mystique qu’est Al Maktoum, je lui demande de lire la sourate 27 surtout du verset 21 au 31.
Sahite Gaye, Commission Scolaire Universitaire DMWM Ouest France