Globalement, le déficit budgétaire, y compris les dons, est projeté à 1055,1 milliards, soit 6,2% du PIB à fin 2022, contre une programmation initiale de 4,8% dans la Loi de finances initiale pour l’année 2022 et une réalisation de 967,0 milliards (soit 6,3% du PIB) en 2021.
Les ressources totales de l'État sont projetées en hausse de 12,5% (+389,2 milliards FCFA), passant de 3108,9 milliards FCfa en 2021 à 3 498,1 milliards FCFA pour l'année 2022. Elles sont constituées de recettes budgétaires pour une valeur de 3 232,1 milliards FCfa et de dons à hauteur de 266 milliards FCfa. Quant à la pression fiscale au titre de l'année 2022, elle ressortirait à 18,1% du PIB, contre 16,9% observé un an auparavant.
Les dépenses publiques sont prévues à 4 553,2 milliards FCfa à la fin de l’exercice 2022 contre 4075,9 milliards FCfa, en 2021, soit un accroissement de 477,3 milliards FCfa (+11,7%). Cette évolution serait portée par la progression de l'investissement qui devrait s’accroître globalement de 162,7 milliards FCfa (+10,2%), pour s'établir à 1 753,8 milliards FCfa en fin 2022.
S’agissant des dépenses courantes, elles passeraient, globalement, de 2 484,8 milliards FCfa en 2021 à 2 799,4 milliards FCfa en 2022, soit une hausse de 12,7%, traduisant les effets de la hausse attendue de la masse salariale et des transferts et subventions. La masse salariale qui était projetée, initialement, à 952 milliards FCfa dans la Loi de finances pour l’année 2022, devrait atteindre 1037 milliards FCfa. Cette évolution devrait refléter la prise en compte des engagements de l’État en termes de revalorisation des salaires, concernant les secteurs de l’éducation, de la santé, de la sécurité et d’autres agents du secteur public.
Quant à la progression des charges d’intérêts sur la dette, elle serait imputable à la hausse de 57,1 milliards FCfa des intérêts sur la dette intérieure, pour atteindre 109,5 milliards FCfa en 2022. Les intérêts sur la dette extérieure, pour leur part, devraient se contracter de 5,4%, pour se situer à 240,5 milliards FCfa, en 2022.
Les ressources totales de l'État sont projetées en hausse de 12,5% (+389,2 milliards FCFA), passant de 3108,9 milliards FCfa en 2021 à 3 498,1 milliards FCFA pour l'année 2022. Elles sont constituées de recettes budgétaires pour une valeur de 3 232,1 milliards FCfa et de dons à hauteur de 266 milliards FCfa. Quant à la pression fiscale au titre de l'année 2022, elle ressortirait à 18,1% du PIB, contre 16,9% observé un an auparavant.
Les dépenses publiques sont prévues à 4 553,2 milliards FCfa à la fin de l’exercice 2022 contre 4075,9 milliards FCfa, en 2021, soit un accroissement de 477,3 milliards FCfa (+11,7%). Cette évolution serait portée par la progression de l'investissement qui devrait s’accroître globalement de 162,7 milliards FCfa (+10,2%), pour s'établir à 1 753,8 milliards FCfa en fin 2022.
S’agissant des dépenses courantes, elles passeraient, globalement, de 2 484,8 milliards FCfa en 2021 à 2 799,4 milliards FCfa en 2022, soit une hausse de 12,7%, traduisant les effets de la hausse attendue de la masse salariale et des transferts et subventions. La masse salariale qui était projetée, initialement, à 952 milliards FCfa dans la Loi de finances pour l’année 2022, devrait atteindre 1037 milliards FCfa. Cette évolution devrait refléter la prise en compte des engagements de l’État en termes de revalorisation des salaires, concernant les secteurs de l’éducation, de la santé, de la sécurité et d’autres agents du secteur public.
Quant à la progression des charges d’intérêts sur la dette, elle serait imputable à la hausse de 57,1 milliards FCfa des intérêts sur la dette intérieure, pour atteindre 109,5 milliards FCfa en 2022. Les intérêts sur la dette extérieure, pour leur part, devraient se contracter de 5,4%, pour se situer à 240,5 milliards FCfa, en 2022.