Les agriculteurs demandent à l’Etat d’intervenir pour qu’ils puissent rentrer dans leurs fonds. Ils trouvent « anormal » que les huiliers traînent les pieds pour respecter leur engagement. D’aucuns accusent les opérateurs économiques comme étant responsables de ces lenteurs notées dans la commercialisation et les bons impayés. Certains paysans soulignent qu’ils ont passés le Maouloud dans de difficiles conditions faute de liquidités.
Presque chaque année c’est l’éternel jeu de cache-cache entre paysans, opérateurs économiques et huiliers. Les agriculteurs, après avoir sué sang et eau sous le soleil du Saloum, du Ndoucoumane, du Cayor ou encore du Baol, sont considérés comme une balle de ping-pong par les acheteurs. Ils souffrent le martyr avant de voir la couleur de leur argent.
Thiedo
Presque chaque année c’est l’éternel jeu de cache-cache entre paysans, opérateurs économiques et huiliers. Les agriculteurs, après avoir sué sang et eau sous le soleil du Saloum, du Ndoucoumane, du Cayor ou encore du Baol, sont considérés comme une balle de ping-pong par les acheteurs. Ils souffrent le martyr avant de voir la couleur de leur argent.
Thiedo