Une décision qui a eu le don de surprendre de nombreux observateurs, à commencer par l'ex-sélectionneur Juan Micha Obiang, par la suite limogé dans un objectif de restructuration de l'équipe nationale.
«Je suis surpris qu'on dise que les joueurs ont été suspendus à la suite de mon rapport», a déclaré cette semaine le technicien. Et justement, Nsue, qui est passé de la lumière - en tant que meilleur buteur de la CAN (5 réalisations) - à l'ombre en l'espace de quelques jours, a tenu à rétablir ses vérités lors d'un live sur Instagram.
«Ces cancers, ces voleurs, ces menteurs et ces corrompus qui gèrent le football en Guinée équatoriale ont dérobé 1 million d'euros après la CAN au Cameroun (en 2022), après que nous avions tout donné sur le terrain. Ils avaient promis d'injecter cette somme pour développer le football local. (...) Nous n'allons pas nous taire parce qu'ils le veulent. L'argent qu'ils nous doivent ?
On ne l'a jamais vu. Ils veulent changer le projet sportif de la sélection et faire venir des Brésiliens. Ils n'ont honte de rien, alors que nous sommes la 10e meilleure équipe du continent africain», a critiqué le recordman de buts pour la Guinée équatoriale (22 réalisations en 44 sélections).
Sans pincette, le joueur d'Intercity en troisième division espagnole, a enchaîné, toujours avec le même objectif : montrer aux yeux de tous l'incompétence de la Fédération équato-guinéenne.
«Moi, ils m'ont humilié en mondovision. Notre sélectionneur, un des meilleurs d'Afrique, est menacé continuellement et victime de chantage. Ils veulent diviser le groupe, un des kinésithérapeutes est un mouchard. C'est la plus grande humiliation de l'histoire de notre sélection. Ils veulent qu'on en vienne à jouer contre une sélection de joueurs de l'Aragón, voilà le niveau de ces analphabètes et de ces voleurs», a fustigé Nsue.
Pour autant, l'attaquant de 34 ans compte-t-il raccrocher les crampons en sélection ? Absolument pas. Ce dernier réclame juste du changement au sein des instances dirigeantes.
«Le Nzalang continuera à vivre, mais pas tant que le président et ses sbires resteront au pouvoir. Je suis prêt à mourir pour mon pays, je veux me battre pour ce peuple. La sélection est au-dessus de tout et de tout le monde. Vive la Guinée équatoriale», a terminé un avant-centre très énervé. Sans un changement à la tête de la Fédération, Nsue peut faire une croix sur la sélection après une telle sortie..
«Je suis surpris qu'on dise que les joueurs ont été suspendus à la suite de mon rapport», a déclaré cette semaine le technicien. Et justement, Nsue, qui est passé de la lumière - en tant que meilleur buteur de la CAN (5 réalisations) - à l'ombre en l'espace de quelques jours, a tenu à rétablir ses vérités lors d'un live sur Instagram.
«Ces cancers, ces voleurs, ces menteurs et ces corrompus qui gèrent le football en Guinée équatoriale ont dérobé 1 million d'euros après la CAN au Cameroun (en 2022), après que nous avions tout donné sur le terrain. Ils avaient promis d'injecter cette somme pour développer le football local. (...) Nous n'allons pas nous taire parce qu'ils le veulent. L'argent qu'ils nous doivent ?
On ne l'a jamais vu. Ils veulent changer le projet sportif de la sélection et faire venir des Brésiliens. Ils n'ont honte de rien, alors que nous sommes la 10e meilleure équipe du continent africain», a critiqué le recordman de buts pour la Guinée équatoriale (22 réalisations en 44 sélections).
Sans pincette, le joueur d'Intercity en troisième division espagnole, a enchaîné, toujours avec le même objectif : montrer aux yeux de tous l'incompétence de la Fédération équato-guinéenne.
«Moi, ils m'ont humilié en mondovision. Notre sélectionneur, un des meilleurs d'Afrique, est menacé continuellement et victime de chantage. Ils veulent diviser le groupe, un des kinésithérapeutes est un mouchard. C'est la plus grande humiliation de l'histoire de notre sélection. Ils veulent qu'on en vienne à jouer contre une sélection de joueurs de l'Aragón, voilà le niveau de ces analphabètes et de ces voleurs», a fustigé Nsue.
Pour autant, l'attaquant de 34 ans compte-t-il raccrocher les crampons en sélection ? Absolument pas. Ce dernier réclame juste du changement au sein des instances dirigeantes.
«Le Nzalang continuera à vivre, mais pas tant que le président et ses sbires resteront au pouvoir. Je suis prêt à mourir pour mon pays, je veux me battre pour ce peuple. La sélection est au-dessus de tout et de tout le monde. Vive la Guinée équatoriale», a terminé un avant-centre très énervé. Sans un changement à la tête de la Fédération, Nsue peut faire une croix sur la sélection après une telle sortie..