Réagissant à cet appel renouvelé au retour par les autorités militaires, comme ce fut le cas en juin 2020, Humanité & Inclusion (anciennement Handicap International, Ndlr) attire l’attention de toutes les parties prenantes, dans un communiqué parcouru par « Tribune ».
Humanité & Inclusion met particulièrement l’accent «sur les dangers que pourrait entraîner un retour précipité des déplacés, et sur la nécessité d’une dépollution totale nécessaire des sites visités par l’armée, se situant à la frontière avec la Guinée-Bissau».
Humanité & Inclusion ajoute que «même si le retour des populations déplacées de Casamance est souhaité, il doit être précédé d’une dépollution des zones contaminées et une préparation en amont à laquelle devront prendre part tous les acteurs, afin de garantir aux populations un retour et une reprise de leurs activités en toute sécurité».
Humanité & Inclusion met particulièrement l’accent «sur les dangers que pourrait entraîner un retour précipité des déplacés, et sur la nécessité d’une dépollution totale nécessaire des sites visités par l’armée, se situant à la frontière avec la Guinée-Bissau».
Humanité & Inclusion ajoute que «même si le retour des populations déplacées de Casamance est souhaité, il doit être précédé d’une dépollution des zones contaminées et une préparation en amont à laquelle devront prendre part tous les acteurs, afin de garantir aux populations un retour et une reprise de leurs activités en toute sécurité».