Le sanctuaire est édifié sur l'emplacement d'un ancien cimetière chrétien, alors choisi par Mgr Jalabert, onzième vicaire apostolique de la Sénégambie pour que les morts d'Afrique y soient symboliquement honorés et réunis. Le terrain avait été concédé par le gouvernement.
Le tiers des fonds est réuni par le comité du Souvenir africain avant que n’éclate la Grande Guerre. Dès la fin de la Première Guerre mondiale, le projet est relancé, mais il demande du temps pour aboutir. La première pierre est posée le 11 novembre 1922 à l’initiative de monseigneur Hunsec et de monseigneur Grimault du Souvenir africain. L’architecte est C. Wulffleff. La basilique est consacrée par le cardinal Verdier le 2 février 1936 en présence du général Gouraud.
L'édifice monumental, conçu par l'architecte Charles-Albert Wulffleff, puise son inspiration à de multiples sources : tours de style soudanais, coupoles et terrasses byzantines, cariatides auxquelles des jeunes filles peul ont prêté leurs traits. Des matériaux africains (grès rose du Soudan, marbres de Tunisie, bois massifs du Gabon, tapis de Ouagadougou) sont associés aux dalles en granit de Bretagne ou aux ornements de bronze réalisés à Auteuil par les orphelins du Père Brottier.
Le cardinal Hyacinthe Thiandoum, décédé en 2004, y repose à l’arrière de l’autel, près de la statue de Notre-Dame des Victoires, sainte patronne de la cathédrale
L’édifice porte la dédicace : A ses morts d’Afrique, la France reconnaissante. Aujourd’hui, le souvenir du père Brottier est toujours conservé dans la cathédrale de Dakar qui porte une nouvelle dédicace : A la Vierge Marie Mère de Jésus le Sauveur.
Thiedo
Le tiers des fonds est réuni par le comité du Souvenir africain avant que n’éclate la Grande Guerre. Dès la fin de la Première Guerre mondiale, le projet est relancé, mais il demande du temps pour aboutir. La première pierre est posée le 11 novembre 1922 à l’initiative de monseigneur Hunsec et de monseigneur Grimault du Souvenir africain. L’architecte est C. Wulffleff. La basilique est consacrée par le cardinal Verdier le 2 février 1936 en présence du général Gouraud.
L'édifice monumental, conçu par l'architecte Charles-Albert Wulffleff, puise son inspiration à de multiples sources : tours de style soudanais, coupoles et terrasses byzantines, cariatides auxquelles des jeunes filles peul ont prêté leurs traits. Des matériaux africains (grès rose du Soudan, marbres de Tunisie, bois massifs du Gabon, tapis de Ouagadougou) sont associés aux dalles en granit de Bretagne ou aux ornements de bronze réalisés à Auteuil par les orphelins du Père Brottier.
Le cardinal Hyacinthe Thiandoum, décédé en 2004, y repose à l’arrière de l’autel, près de la statue de Notre-Dame des Victoires, sainte patronne de la cathédrale
L’édifice porte la dédicace : A ses morts d’Afrique, la France reconnaissante. Aujourd’hui, le souvenir du père Brottier est toujours conservé dans la cathédrale de Dakar qui porte une nouvelle dédicace : A la Vierge Marie Mère de Jésus le Sauveur.
Thiedo