Non content d'avoir injustement pris en otage Malick Noël Seck, le monstre a désormais jeté son dévolu sur Barthelemy Diaz qui malgré son militantisme avéré et le ton acerbe qu’on lui connaît, est un élu du peuple. Et c'est jusque dans sa mairie, qui constitue une institution, que ces nervis sont allés le cueillir pour en découdre avec lui.
Si on se souvient encore des promesses électorales de M. Wade en 2000 à la jeunesse sénégalaise, il est dommage de constater que toutes ces belles promesses de conditions de vie meilleure, d'un emploi décent ont cédé la place à la violence. Aujourd’hui, le président de la République a fini de transformer cette jeunesse qu'il a tant fait rêver en une véritable milice pour une seule mission : celle d'abattre tout citoyen qui oserait le défier dans son projet de dévolution monarchique du pouvoir. Ce pouvoir est toujours prompt à transformer les jeunes en de véritables gangsters politiques.
C'est toujours dans la banlieue que l'on va recruter ces nervis. Et cette banlieue ne mérite pas de servir de bastion de recrutement de nervis qui n’ont qu’un seul but : piller, saccager, bruler, tuer. Elle ne mérite pas non plus le mépris que le président lui a toujours voué.
Ceux la qui ont pour vocation de recruter pour accomplir ces sales besognes ont des enfants, à commencer par le président lui-même. Qu’ils recrutent leur propres fils.
Mieux, qu’ils arrêtent cette insanité, cette entreprise macabre de vouloir détruire tout opposant.
La dureté de la vie et la situation plus que jamais précaire du pays ne peuvent justifier en aucune manière que nous jeunes, quelque soit nos difficultés d’existence, vendions notre âme au diable. C’est contraire à la raison et à la morale. De plus, ceux la qui en constituent les commanditaires seront les premiers à nous tourner le dos, une fois ce sale boulot accompli.
Le cas de Ndiaga Diop doit aujourd’hui nous servir d’exemple. Nous pouvons nous forger un bel avenir dans la patience, la discipline et l’effort au lieu de monnayer nos forces et talents pour des entreprises de basse œuvre a des prix qui certainement ne pourront point assurer la couverture de notre linceul.
Nous jeunes du Sénégal devons rester dignes dans les circonstances actuelles de notre pays qui ne nous sont pas favorables ; dignes dans la recherche effrénée d’un mieux-être et dans l’accomplissement de notre foi en Dieu. De même, si notre engagement politique s’avère nécessaire, il doit être citoyen pour l’œuvre de construction nationale.
A la jeunesse de mon pays, je lance un message : un autre Sénégal est possible. Un Sénégal ou chaque individu aura l'opportunité de réveiller le talent qui dort en lui. Un Sénégal ou chacun aura la chance d'accéder au savoir, a l’avoir et au pouvoir. Un Sénégal de justice, de dignité et de paix. C'est en ce Sénégal que nous croyons et c'est à sa construction que notre leader Idrissa Seck nous invite.
Son amour pour la patrie et sa jeunesse n’a d’égal que son ambition a créer les conditions d’une société plus juste et plus égalitaire.
Ensemble et avec lui, mobilisons-nous pour que demain règnent le droit, la loi et la prospérité.
Mamadou Moustapha DIALLO
Responsable de la Coordination des Jeunes de Rewmi New YORK
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Si on se souvient encore des promesses électorales de M. Wade en 2000 à la jeunesse sénégalaise, il est dommage de constater que toutes ces belles promesses de conditions de vie meilleure, d'un emploi décent ont cédé la place à la violence. Aujourd’hui, le président de la République a fini de transformer cette jeunesse qu'il a tant fait rêver en une véritable milice pour une seule mission : celle d'abattre tout citoyen qui oserait le défier dans son projet de dévolution monarchique du pouvoir. Ce pouvoir est toujours prompt à transformer les jeunes en de véritables gangsters politiques.
C'est toujours dans la banlieue que l'on va recruter ces nervis. Et cette banlieue ne mérite pas de servir de bastion de recrutement de nervis qui n’ont qu’un seul but : piller, saccager, bruler, tuer. Elle ne mérite pas non plus le mépris que le président lui a toujours voué.
Ceux la qui ont pour vocation de recruter pour accomplir ces sales besognes ont des enfants, à commencer par le président lui-même. Qu’ils recrutent leur propres fils.
Mieux, qu’ils arrêtent cette insanité, cette entreprise macabre de vouloir détruire tout opposant.
La dureté de la vie et la situation plus que jamais précaire du pays ne peuvent justifier en aucune manière que nous jeunes, quelque soit nos difficultés d’existence, vendions notre âme au diable. C’est contraire à la raison et à la morale. De plus, ceux la qui en constituent les commanditaires seront les premiers à nous tourner le dos, une fois ce sale boulot accompli.
Le cas de Ndiaga Diop doit aujourd’hui nous servir d’exemple. Nous pouvons nous forger un bel avenir dans la patience, la discipline et l’effort au lieu de monnayer nos forces et talents pour des entreprises de basse œuvre a des prix qui certainement ne pourront point assurer la couverture de notre linceul.
Nous jeunes du Sénégal devons rester dignes dans les circonstances actuelles de notre pays qui ne nous sont pas favorables ; dignes dans la recherche effrénée d’un mieux-être et dans l’accomplissement de notre foi en Dieu. De même, si notre engagement politique s’avère nécessaire, il doit être citoyen pour l’œuvre de construction nationale.
A la jeunesse de mon pays, je lance un message : un autre Sénégal est possible. Un Sénégal ou chaque individu aura l'opportunité de réveiller le talent qui dort en lui. Un Sénégal ou chacun aura la chance d'accéder au savoir, a l’avoir et au pouvoir. Un Sénégal de justice, de dignité et de paix. C'est en ce Sénégal que nous croyons et c'est à sa construction que notre leader Idrissa Seck nous invite.
Son amour pour la patrie et sa jeunesse n’a d’égal que son ambition a créer les conditions d’une société plus juste et plus égalitaire.
Ensemble et avec lui, mobilisons-nous pour que demain règnent le droit, la loi et la prospérité.
Mamadou Moustapha DIALLO
Responsable de la Coordination des Jeunes de Rewmi New YORK
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