Sérigne Cheikh Sidy Moukhtar Mbacké dit Maty Lèye, c’est un Khalif général des mourides, un Soufi entièrement acquis à la cause juste, désintéressé et résolument décidé à faire la leçon aux hommes pour que prévalent probité morale et quête permanente de Dieu à travers les actes que nous posons.
Pour un premier message de cérémonie officielle, le Khalif général des mourides dira : « Nul d’entre vous n’est vrai croyant, s’il n’aime pas pour son frère ce qu’il aime pour soi-même. » Cette considération de l’homme est celle qu’avait Cheikh Amadou Bamba qui implore son Seigneur dans un de ses versets en ces termes : « Incite-nous à aimer tout musulman et préserve-nous du mal provenant de tout transgresseur. » Telle est une prière qui interdit de nourrir de l’inimitié à l’égard d’un croyant monothéiste.
Sérigne Cheikh Sidy Moukhtar Mbacké très ancré dans les enseignements de Cheikhoul Khadim, demande aux disciples mourides, à tous les musulmans de ne s’entraider que dans l’accomplissement des bonnes œuvres et de la piété et non dans le péché et la transgression. Le marabout de rappeler que le rapport entre le musulman et son coreligionnaire est comparable au rapport entre les briques d’un même mur qui se tiennent les unes les autres. C’est dire que les musulmans sont comme un corps humain : lorsqu’une partie souffre, l’ensembles des parties du corps se joignent à elle et se partagent la souffrance.
Dans ce contexte sociopolitique tendu, le Khalif général des mourides a rappelé les sénégalais, majorité comme opposition, société civile et citoyens anonymes, la nécessité d’éviter tout ce qui peut susciter le trouble conformément aux recommandations du coran. Il est important pour les hommes de craindre une calamité qui n’affligera pas seulement les injustes d’où la nécessité d’appliquer les recommandations de Dieu à son Prophète. Un discours, espérons-le qui ne terrira pas dans l’oreille d’un sourd, surtout avec les couches politico-sociales sénégalaises qui s’adressent constamment des invectives par presse interposée.
Envoyé spécial à Touba : Bakary NDIAYE
Pour un premier message de cérémonie officielle, le Khalif général des mourides dira : « Nul d’entre vous n’est vrai croyant, s’il n’aime pas pour son frère ce qu’il aime pour soi-même. » Cette considération de l’homme est celle qu’avait Cheikh Amadou Bamba qui implore son Seigneur dans un de ses versets en ces termes : « Incite-nous à aimer tout musulman et préserve-nous du mal provenant de tout transgresseur. » Telle est une prière qui interdit de nourrir de l’inimitié à l’égard d’un croyant monothéiste.
Sérigne Cheikh Sidy Moukhtar Mbacké très ancré dans les enseignements de Cheikhoul Khadim, demande aux disciples mourides, à tous les musulmans de ne s’entraider que dans l’accomplissement des bonnes œuvres et de la piété et non dans le péché et la transgression. Le marabout de rappeler que le rapport entre le musulman et son coreligionnaire est comparable au rapport entre les briques d’un même mur qui se tiennent les unes les autres. C’est dire que les musulmans sont comme un corps humain : lorsqu’une partie souffre, l’ensembles des parties du corps se joignent à elle et se partagent la souffrance.
Dans ce contexte sociopolitique tendu, le Khalif général des mourides a rappelé les sénégalais, majorité comme opposition, société civile et citoyens anonymes, la nécessité d’éviter tout ce qui peut susciter le trouble conformément aux recommandations du coran. Il est important pour les hommes de craindre une calamité qui n’affligera pas seulement les injustes d’où la nécessité d’appliquer les recommandations de Dieu à son Prophète. Un discours, espérons-le qui ne terrira pas dans l’oreille d’un sourd, surtout avec les couches politico-sociales sénégalaises qui s’adressent constamment des invectives par presse interposée.
Envoyé spécial à Touba : Bakary NDIAYE