Le milliardaire Cheikh Amar affligé par la pette de son fils aîné, Serigne Saliou, a essayé de livrer un témoignage sur lui, à l’assistance venu compatir sa peine. C’étaient des mots empreints de douleurs, dans la bouche d’un père éploré.
« Il n’est jamais facile dans de pareilles circonstances, d’accepter la réalité. Mais devant la volonté divine, on ne peut que se résigner. Mon fils est parti tôt et il laissera un grand vide autour de nous. Je l’ai regardé évolué depuis sa tendre enfance et je dois dire que le choc de ne plus le savoir dans le monde des vivants, m’est assez brutal.
Il avait toutes les prédispositions pour assurer ma relève. Je fondais beaucoup d’espoir en lui. Je ne savais même pas qu’il avait aidé une pauvre dame malade et dans la détresse… »
Source L’Observateur
« Il n’est jamais facile dans de pareilles circonstances, d’accepter la réalité. Mais devant la volonté divine, on ne peut que se résigner. Mon fils est parti tôt et il laissera un grand vide autour de nous. Je l’ai regardé évolué depuis sa tendre enfance et je dois dire que le choc de ne plus le savoir dans le monde des vivants, m’est assez brutal.
Il avait toutes les prédispositions pour assurer ma relève. Je fondais beaucoup d’espoir en lui. Je ne savais même pas qu’il avait aidé une pauvre dame malade et dans la détresse… »
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