
Même si certaines voix parlent de candidature maquillée pour donner sens à la réélection au leader de l’AFP au perchoir de la 12 législature, lui parle d’un réel désire d’apporter la rupture. "Contrairement à ce que les gens disent, j’ai posé ma candidature pour sonner l’heure des ruptures. Je suis un talibé de Cheikh Ahmadou Bamba et je crois en Dieu. On ne croyait pas à cette candidature et d’autres annonçaient un désistement de ma part. Ce qui est archi-faux, parce que tout le monde a vu le contraire. J’avais donné ma parole à des collègues, donc, je ne devais plus reculer, mais aller jusqu’au bout ", a laissé entendre le député, d’après le quotidien Libération.