Le 21 mars 2002, presque en toute impunité, Cheikh Diop et compagnie avaient usé de la violence pour s’imposer dans un débat d’idées à la Bourse du travail. Le siège de la Cnts a été incendié par des individus supposés appartenir à la bande de Cheikh Diop. Bilan : un mort et une femme lâchement brûlée. Cette période marque la naissance d’une branche dissidente de la Cnts, c’est la Cnts/Fc jusque là dirigée par Cheikh Diop.
Onze ans après, le balayeur Cheikh Diop est balayé par la dame Bakhaw Diongue. Le désormais ex-secrétaire général de la Cnts/Fc a eu de la chance parce que son balayage syndical s’est déroulé sans aucune violence contrairement à celui de 2002 où il était le cerveau. Après une décennie de règne à la tête de cette centrale syndicale, proche du régime, Cheik Diop semble recevoir ce qu’il mérite. Dans le passé, il s’est plutôt mis à s’arranger avec le pouvoir que de défendre les intérêts matériels et moraux des travailleurs de sa centrale.
Leral.net
Onze ans après, le balayeur Cheikh Diop est balayé par la dame Bakhaw Diongue. Le désormais ex-secrétaire général de la Cnts/Fc a eu de la chance parce que son balayage syndical s’est déroulé sans aucune violence contrairement à celui de 2002 où il était le cerveau. Après une décennie de règne à la tête de cette centrale syndicale, proche du régime, Cheik Diop semble recevoir ce qu’il mérite. Dans le passé, il s’est plutôt mis à s’arranger avec le pouvoir que de défendre les intérêts matériels et moraux des travailleurs de sa centrale.
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