Les problèmes auxquels ils sont confrontés tournent autour de leur mauvaise condition de travail, du non-respect du code du travail, des salaires maigres selon eux, mais aussi du retard de paiement de salaire et de l’exploitation du personnel.
D’après le communiqué qu’ils nous ont envoyé, « une classe rapporte en moyen par mois 12 420 000 Frs au moment où l’enseignant perçoit 130 000 Frs»
Dénonçant une certaine forme de racisme et de népotisme, ils soulignent qu’au niveau de l’Ecole élémentaire située à Mermoz, il ya plus d’un an une histoire de pédophile et de détournement s’était déclarée, défrayant la chronique.
Tirant à boulets rouges sur le directeur qui disent-ils « règne en vrai dictateur », les enseignants révèlent qu’il refuse même de serrer la main aux enseignants qu’il traite d’athée car ils portent des amulettes.
Drôle et triste à la fois, les râleurs révèlent que « pour une note de 6/10 donnée en dessin à sa fille, il s’est plongé dans une colère noire allant même jusqu'à menacer tout enseignant qui s’aventurait à donner à sa fille une mauvaise note. »
Poussant plus loin les indications, ils soulignent que toute revendication est synonyme de licenciement.
« En bon dictateur, il est parvenu à diviser le personnel Turcs et Sénégalais du Directeur Général. C’est le même climat délétère qui règne à l’Ecole élémentaire de Thiès et à la maternelle sise à Sud Foire » chargent les frondeurs.
Ces enseignants regroupés en collectif, comptent boycotter la surveillance et la correction des tests d’entrée prévus le 14 mai et disent vouloir dérouler d’autres plans d’actions pouvant aller jusqu’à déclarer « persona non grata » le Directeur de l’Ecole Elémentaire.
Pour avoir leur version, nous avons tenté à plusieurs reprises de joindre un responsable du groupe incriminé, mais le téléphone sonnait toujours dans le vide.
Fara Michel Dièye
rewmi
D’après le communiqué qu’ils nous ont envoyé, « une classe rapporte en moyen par mois 12 420 000 Frs au moment où l’enseignant perçoit 130 000 Frs»
Dénonçant une certaine forme de racisme et de népotisme, ils soulignent qu’au niveau de l’Ecole élémentaire située à Mermoz, il ya plus d’un an une histoire de pédophile et de détournement s’était déclarée, défrayant la chronique.
Tirant à boulets rouges sur le directeur qui disent-ils « règne en vrai dictateur », les enseignants révèlent qu’il refuse même de serrer la main aux enseignants qu’il traite d’athée car ils portent des amulettes.
Drôle et triste à la fois, les râleurs révèlent que « pour une note de 6/10 donnée en dessin à sa fille, il s’est plongé dans une colère noire allant même jusqu'à menacer tout enseignant qui s’aventurait à donner à sa fille une mauvaise note. »
Poussant plus loin les indications, ils soulignent que toute revendication est synonyme de licenciement.
« En bon dictateur, il est parvenu à diviser le personnel Turcs et Sénégalais du Directeur Général. C’est le même climat délétère qui règne à l’Ecole élémentaire de Thiès et à la maternelle sise à Sud Foire » chargent les frondeurs.
Ces enseignants regroupés en collectif, comptent boycotter la surveillance et la correction des tests d’entrée prévus le 14 mai et disent vouloir dérouler d’autres plans d’actions pouvant aller jusqu’à déclarer « persona non grata » le Directeur de l’Ecole Elémentaire.
Pour avoir leur version, nous avons tenté à plusieurs reprises de joindre un responsable du groupe incriminé, mais le téléphone sonnait toujours dans le vide.
Fara Michel Dièye
rewmi