Babacar Diop, 1er adjoint au maire de la commune de Fass-Gueule Tapée-Colobane, poursuivi pour escroquerie dans l’affaire des constructions de cantines au marché de Colobane, est encore arrêté. D'aprés des informations de "Libération", reprises par Rewmi.com, il a été cueilli par les éléments de la Section de Recherches, en même temps que Mame Mbaye Senghor, ancien trésorier de la coopérative du Syndicat national des travailleurs des collectivités locales sous-section Dakar. Ils sont placés en garde-à-vue.
De l’enquête effectuée, il ressort des auditions, constatations et analyse des pièces que les faits reprochés à Babacar Diop et Idrissa Fall sont constants et ne souffrent d’aucune contestation. En l’espèce, Babacar Diop et Idrissa Fall ont initié pour leur compte personnel, un projet de construction et de distribution de cantines, se réfugiant injustement derrière la mairie. En effet, Babacar Diop a usé de son statut d’adjoint au maire pour mettre en œuvre son projet, alors que son action n’était fondée sur aucune base légale. Il n’a produit aucun acte pouvant attester que les personnes des mains desquelles il a reçu l’argent, disposent valablement de cantines au sein du marché’.
A la barre, il a reconnu avoir reçu de l’argent de la part de chacun des différents plaignants, constitués de marchands ambulants, de tabliers et de quelques particuliers.
Au total, le montant encaissé par le mis en cause est estimé à plus de 25 millions francs Cfa, dont 18 millions 500 mille FCfa versé par une des 21 victimes, pour l’achat de sept cantines.
De l’enquête effectuée, il ressort des auditions, constatations et analyse des pièces que les faits reprochés à Babacar Diop et Idrissa Fall sont constants et ne souffrent d’aucune contestation. En l’espèce, Babacar Diop et Idrissa Fall ont initié pour leur compte personnel, un projet de construction et de distribution de cantines, se réfugiant injustement derrière la mairie. En effet, Babacar Diop a usé de son statut d’adjoint au maire pour mettre en œuvre son projet, alors que son action n’était fondée sur aucune base légale. Il n’a produit aucun acte pouvant attester que les personnes des mains desquelles il a reçu l’argent, disposent valablement de cantines au sein du marché’.
A la barre, il a reconnu avoir reçu de l’argent de la part de chacun des différents plaignants, constitués de marchands ambulants, de tabliers et de quelques particuliers.
Au total, le montant encaissé par le mis en cause est estimé à plus de 25 millions francs Cfa, dont 18 millions 500 mille FCfa versé par une des 21 victimes, pour l’achat de sept cantines.