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Concertation entre le pouvoir et la presse le 30 novembre (officiel)

La concertation nationale entre le pouvoir et la presse se tiendra le 30 novembre prochain à Dakar, a annoncé mercredi le Premier ministre Souleymane Ndéné Ndiaye au cours d’une audience accordée au comité scientifique du séminaire de Saly (Mbour) consacré à la communication gouvernementale.


Rédigé par leral.net le Jeudi 22 Octobre 2009 à 00:46 | | 2 commentaire(s)|

Concertation entre le pouvoir et la presse le 30 novembre (officiel)
Au cours de cette rencontre, il sera question du statut du journaliste, de la dépénalisation du délit de presse et des rapports entre les pouvoirs publics et la presse, a appris l’APS de bonne source.

Lors de l’audience, qui s’est déroulée en présence du ministre de la Communication Moustapha Guirassy, le comité scientifique a fait un exposé sur les travaux de Saly.

Le séminaire-atelier de Saly, qui s’est déroulé les 16 et 17 octobre, avait retenu l’idée de la mise en place de la commission chargée de réfléchir sur les termes de référence du projet de concertation entre l’Etat et la presse.

De son côté, le ministre de la Communication, Moustapha Guirassy, avait indiqué que la concertation nationale entre l’Etat et la presse est devenue ’’une urgence pour apaiser le secteur’’.

Le porte-parole du gouvernement avait, en outre, pris l’engagement d’aller ’’jusqu’au bout’’ de ses efforts, pour ’’impulser le changement et donner une nouvelle dynamique’’ à la communication gouvernementale.

Des représentants du ministère de la Communication, du Syndicat des professionnels de l’information et de la communication (SYNPICS), du Comité pour le respect de l’éthique et de la déontologie dans les médias (CORED), et divers acteurs de la presse avaient pris part à ce séminaire destiné à définir les nouvelles orientations de la politique de communication du gouvernement.

Pape Alé Niang


1.Posté par RUDY D ERNEVILLE journalist consultant en communication memb le 22/10/2009 19:31 | Alerter
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DE QUOI S AGIT IL? NOUS SAVONS TOUS QUE LA DEMOCRATIE N EST PAS UN PUR PROCESSUS FORMEL QUI SERAIT CENTRE SUR LA MISE EN PLACE D INSTITUTIONS PLURALISTES ET L ADOPTION DE TEXTES CONSTITUTIONNELS. ELLE S ENRACINE DANS UN ENVIRONNEMENT APTE APRES UNE PERIODE AUTORITAIRE A ACCEPTER CETTE GREFFE. AUTREMENT DIT EN AFRIQUE COMME AILLEURS L EMERGENCE ET L EPANOUISSEMENT D UNE CULTURE DEMOCRATIQUE EST LE GARANT DE LA PERENNITE ET DE LA CONSOLIDATION DES PHENOMENES DEMOCRATIQUES. CEPENDANT PARMI LES INSTRUMENTS PROPRES A STIMULER L EMERGENCE D UNE CULTURE DEMOCRATIQUE LA LIBERTE DE L INFORMATION OCCUPE UNE PLACE DE CHOIX. LA LIBERTE D OPINION ET D EXPRESSION CONSTITUE L UN DES DROITS DE L HOMME RECONNU DANS LES TEXTES INTERNATIONAUX FONDAMENTAUX. LA DECLARATION UNIVERSELLE DES DROITS DE L HOMME DE 1948 LE PACTE INTERNATIONAL DE 1966 SUR LES DROITS CIVILS ET POLITIQUES. POUR CE QUI CONCERNE LE SENEGAL IL CONVIENT DE SE REFERER A LA CHARTE AFRICAINE DES DROITS DE L HOMME ET DES PEUPLES QUI PROCLAME A LA FOIS LE DROIT POUR TOUT INDIVIDU DE RECEVOIR L INFORMATION AINSI QUE D EXPRIMER ET DIFFUSER SES OPINIONS. AUJOURDH UI ON PEUT DISTINGUER TROIS PHASES PRINCIPALES QUI MONTRENT BIEN QUE LA LIBERTE DE L INFORMATION EST ETROITEMENT TRIBUTAIRE DES PROGRES DE LA DEMOCRATIE. AVANT LES TRANSITIONS DEMOCRATIQUES DEUS TRAITS CARACTERISAIENT LA SITUATION DE LA PRESSE ET DES MEDIAS LA RESTRICTION DE LA LIBERTE DE L INFORMATION EXISTENCE D UNE CENSURE FORMELLE OU D UNE AUTO-CENSURE DES JOURNALISTSEXPOSES A LA REPRESSION DES AUTORITES ET OU DE CERTAINS SERVICES DE SECURITE L EMPRISE POLITIQUE ET ECONOMIQUE CONTROLE DU MATERIEL ET DES EQUIPEMENTS NECESSAIRES A LA PRODUCTION ET A LA DIFFUSION DES MEDIAS MONOPOLE DE LA FOURNITURE DU PAPIER ETC... DE L ETAT SUR LES MEDIAS TOTALE EN CE QUI CONCERNE LA RADIO ET LA TELEVISION. LE RENOUVEAU DEMOCRATIQUE DES ANNEES 90 A PROVOQUE DANS NOTRE PAYS LE PASSAGE OFFICIEL ET LEGAL AU PLURALISME IDEOLOGIQUE ET AU MULTIPARTISME AVEC A SA TETE MAITRE WADE. DANS LA FOULEE DE CE PROCESSUS A PRIS SON ESSOR UNE PRESSE INDEPENDANTE PLURALISTE NAISSANCE DE JOURNAUX SERVANT DE RELAIS DES PARTIS AUPRES DE L OPINION ET DIVERSIFIEE PROLIFERATION DE LA PRESSE A SCANDALE. LA VERITABLE EXPLOSION QU ONT CONNU LES MEDIAS EST EGALEMENT DUE AU PROGRES TECHNIQUE L INFORMATIQUE PERMET DE REDUIRE LE COUT DE FABRICATION DES MAGAZINES. UN DEUXIEME FACTEUR LIE AUX PROGRES DE LA TECHNIQUE EST A NOTR LE RENFORCEMENT DE LA PRESENCE DES MEDIAS ETRANGERS SUR NOTRE SOL ET QUI A JOUE UN ROLE D AIGUILLON POUR LA PRESSE LOCALE ET POUR LES AVANCEES DE LA LIBERTE DE L INFORMATION. EX: L ATTITUDE OFFENSIVE DE RFI PAR LA MULTIPLICATION DE LA CREATION DE STATIONS FM LESQUELS A LEUR TOUR ONT ENGENDRE DES EMULES DANS LE PAYS COMME ENTRE AUTRES SUD RADIO MAIS AUSSI DE LA BBC DE LA DEUSTCHE WELLE DES RADIOS AMERICAINES ESPAGNOLES PORTUGAISES ETC....AUTRE PHENOMENE L EXPLOSION DE LA DIFFUSION PAR SATELLITE TV5 CFI CANAL HORIZON ET QUI A PERMIS LA CONJONCTION DE FACTEURS POLITIQUES LA DEMOCRATISATION TECHNIQUES ET ECONOMIQUES L ACCEPTATION PAR L ANCIEN REGIME DES PRINCIPES DE L ECONOMIE DE MARCHE AVEC POUE EFFET DE STIMULER LE DEVELOPPEMENT DE MEDIAS PRIVES ET QUI A INCONTESTABLEMENT ENTRAINE UNE AVANCEE SIGNIFICATIVE DE LA LIBERTE D INFORMATION ET D EXPRESSION AU SENEGAL. L EFFORT DE MEMOIRE NOUS OBLIGE A RECONNAITRE QUE DANS LE CONTINENT ACTUEL ON SE TROUVE CONFRONTE A TROIS CAS DE FIGURE AU REGARD DES PHENOMENES DEMOCRATIQUES. IL YA D UNE PART LES DEMOCRATIES QUI S ENRACINENT SE CONSOLIDENT ET S APPROFONDISSENT REGIMES DANS LESQUELS LA LIBERTE DE L INFORMATION S EXERCE PLEINEMENT ET IL FAUT LE PRECISER AVEC UNE RESPONSABILITE CROISSANTE C EST LE CAS DU SENEGAL IL YA EGALEMENT DES DEMOCRATIES MENACANTES OU LES ACQUIS DES DERNIERES ANNEES ARRACHEES SOUS LA PRESSION DE LA RUE SONT GRIGNOTEES ET REMIS EN CAUSE IL YA ENFIN ET TOUJOURS PLUSIEURS PAYS DANS LESQUELS SEVISSENT DES NEGATIONNISTES DE LA DEMOCRATIE SUR LESQUELS IL N YA PAS LIEU D INSISTER SI CE N EST POUR RAPPELER QUE L INFORMATION Y EST TOUJOURS SEVEREMENT CONTROLEE ET LES JOURNALISTS POURCHASSES. AUJOURDH UI LA MANIFESTATION D UN CONTRE -POUVOIR DOIT S EXERCER IMPLICITEMENT PAR UN ROLE DISSUASIF MAIS EGALEMENT ET SURTOUT EXPLICITEMENT LORSQUE L ACTIION GOUVERNEMENTALE CONTREVIENT DE MANIERE FLAGRANTE A CE QUI DEVRAIT FAIRE L ESSENCE DE LA DEMOCRATIE DANS NOTRE CHER SENEGAL RUDY D ERNEVILLE PARIS

2.Posté par RUDY DERNEVILLE journalist consultant en communication ancie le 23/10/2009 02:46 | Alerter
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C'EST EN FAIT DANS LA SECONDE CATEGORIE EVOQUEE CELLE DES DEMOCRATIES MENACEES QUE LES PROBLEMES DE LA LIBERTE DE L'INFORMATION APPARAISSENT LES PLUS PRESSANTS CETTE CATEGORIE N'A FAIT QUE S'ELARGIR POUR DIFFERENTES RAISONS AU COURS DES DERNIERES ANNEES LES EGIMES EN PLACE AU MOMENT DU TOURNANT DEMOCRATIQUE SE SONT RALLIES DE PLUS OU MOINS BONNE FOI AU VENT DU CHANGEMENT ONT FAIT LE DOS ROND FACE A LEURS OPPOSITIONS SONT PARVENUS A SE MAINTENIR AU POUVOIR EN MANIPULANT DE FACON PLUS OU MOINS VIABLE LES ELECTIONS PUIS FORTS DU TOURNANT DES ANNEES 9O FORTS DE LEUR TOUTE FRAICHE VIRGINITE DEMOCRAYIQUE SE SONT ENGAGES DANS UN MOUVEMENT DE RESTAURATION DONY LA PRESSE A FAIT LES FRAIS ENFIN DANS TOUT ETAT EN TRANSITION LES MEDIAS OFFRENT TOUJOURS LE MEME TABLEAU CONTRASTE UN BOUILLONNEMENT ET UN DYNAMISME REFLET DU NOUVEAU CONTEXTE POLITIQUE MAIS EN MEME TEMPS UNE FRAGILITE EXTREME SUR LE PLAN ECONOMIQUE SUR LE PLAN DE LA DIFFUSION ETSURTOUT UN MANQUE PATENT DE PROFESSIONNALISME MARQUE PAR UN MELANGE DES GENRES LA DEMOCRATIE FAIT EN GENERAL UN DELICAT MENAGE AVEC LES CONVICTIONS PARTISANES ET PARFOIS PAR L'ABSENCE DE RESPONSABILITE DANS LE TRAITEMENT DE L'INFORMATION VOIRE LA MANIPULATION DE CELLE -CI DANS NOMBRE D'ETATS AFRICAINS LA LIBERTE DE L'INFORMATION N'EST PAS ENCORE PROTEGEE DE MANIERE EXPLICITE PLUSIEURS AFFAIRES RECENTES DANS NOTRE PAYS SOULIGNENT LES DANGERS QUE CONNAIT ACTUELLEMENT LE DEVELOPPEMENT DE LA LIBERTE DE L'INFORMATION Y COMPRIS DANS LES REGIMES AYANT PROGRESSE SUR LA VOIE DE LA DEMOCRATIE CEPENDANT SI LA PRESSE SENEGALAISE CELLE DES ANNEES 9O A ETE LE MIROIR DE LA SOCIETE ELLE A ETE EGALEMENT L"INSTRUMENT D'UNE PLUS GRANDE TRANSPARENCE DE LA GESTION DES AFFAIRES PUBLIQUES AUJOURDH UI LA VIGILANCE D'UNE BONNE PARTIE DE LA PRESSE SURTOUT ECRITE CONJUGUEE AVEC UNE PRISE DE CONSCIENCE DES JOURNALISTS DU ROLE QUI LEUR EST IMPARTI DANS DES ESPACES QUI NE SONT PAS TOUJOURS OCCUPES PAR LES FORCES POLITIQUES D'OPPOSITION S'ENTENDE ET UN PROFESSONNALISME RENFORCE DEVRAIT AVOIR UN EFFET DISSUASIF SUR LES TENANTS DU POUVOIR CONVAINCUS QUE LES DERIVES POLITIQUES OU LES MANQUEMENTS A CERTAINES REGLES DU BON FONCTINNEMENT DES INSTITUTIONS NE SAURAIENT ECHAPPER A LA CRITIQUE OU TOUT SIMPLEMENT A UNE BONNE INFORMATION LES TENANTS DU POUVOIR VEILLENT A CE QUE LA LEGALITE ET QUELLE LEGALITE SOIT RESPECTEE OU A DEFAUT A CE QUE TOUTE ENTORSE A SON ENCONTRE NE SOIT PAS RELEVEE L'EXEMPLE DES ELECTIONS DU 19 MARS 2OOO ET CELLES DU 25 FEVRIE 2OO7 ILLUSTRENT PARFAITEMENT LA MISSION IMPARTIE A LA PRESSE DANS UN REGIME DEMOCRATIQUE CELLE QUI A PERMIS AUX CITOYENS DE DONNER UN SENS REEL A LEURS DROITS LE RESULTAT DE CES ELECTIONS A ETE BEAUCOUP MOINS LA SANCTION D'UNE POLITIQUE ECONOMIQUE JUGEE ANTISOCIALE QUE LE RESULTAT D'UNE GESTION DU POUVOIR QUI AU FIL DES ANNEES S'EST ELOIGNEE DES VALEURS AUXQUELLES LES SENEGALAIS SONT ATTACHEES LE P S ET LEURS AMIS N'ONT PAS PRECISEMENT PRIS LA MESURE DES CHANGEMENTS INTERVENUS DANS LE SENEGAL ET LES CONSEQUENCES DE L'AVENEMENT D'UNE OPINION PUBLIQUE CAPABLE DE SE MOBILISER SUR DES THEMES COMME CEUX DE LA TRANSPARENCE DE LA GESTION DE LA RORALISATION DE LA VIE PUBLIQUE ET DE L'IMPARTIALITE DE L'ETAT CE PHENOMENE FECOND SEMBLE ETRE L'UNE DES MARQUES PRINCIPALES DE LA PERIODE QUE VIT LE POUVOIR ACTUEL ET C'EST SANS DOUTE CETTE DYNAMIQUE QUE PARAIT NE PAS AVOIR PRIS SUFFISAMMENT EN COMPTE L'ALTERNANCE DEPUIS LE 19 MARS 2OOO MIEUX LE PRESIDENT WADE ET SON EQUIPE OR DEPUIS LES DERNIERES ELECTIONS DU 25 FEVRIER 2OO7 L'EMERGENCE D'UNE OPINION PUBLIQUE DE PLUS EN PLUS IMPREGNEE DE CULTURE DEMOCRATIQUE SE FAIT JOUR CETTE CULTURE S'APPROPRIE LE DROIT DE VOTE EXIGE UN MEILLEUR MODE DE GOUVERNEMENT EN UN MOT REVENDIQUE LA CITOYENNETE DANS SON ACCEPTION LA PLUS LARGE SOUS CET ANGLE LA PRESSE EST APPELEE A JOUER UN ROLE PEDAGOGIQUE TOURNE VERS LA FORMATION D'UNE OPINION PUBLIQUE CITOYENNE ELLE EST L"ARME DES CITOYENS CES DRENIERS SE FORGENT LIBREMENT UNE OPINION A PARTIR DE LA RELATION DES FAITS DES COMMENTAIRES DES CRITIQUES OU DES PRISES DE POSITION EDITORIALE LA LIBERTE D'EXPRESSION ET A TRAVERS ELLE LA LIBERTE DE LA PRESSE FAIT PARTIE DU TOUT C"EST-A-DIRE D'UN ENVIRONNEMENT REGI PAR DES VALEURS OU PREDOMINENT LA LIBERTE DE CHACUN SUITE ET FIN DE MA CONTRIBUTION PARIS LE 23 OCTOBRE 2OO9 DERNEVILLE RUDY

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