Cependant, précise son coordonnateur, Lassana Sidibé, "la Cnri n’est pas un pouvoir constituant originaire faute d’une discontinuité constitutionnelle au Sénégal".
A en croire le communiqué reçu à Leral, "le décret n°2013-730 du 28 mai 2013 avait ordonné, entre autres, à la commission nationale de réforme des institutions de mener, selon une étude inclusive et participative, la concertation nationale sur la réforme des institutions et de formuler toutes propositions visant à améliorer le fonctionnement des institutions, à consolider la démocratie, à approfondir l’Etat de droit et à moderniser le régime politique".
Par conséquent, Lassana Sidibné souligne que "le CIRSEM ne cautionne pas la démarche de la CNRI allant dans le sens d’élaborer un avant-projet de constitution qui comporte un préambule et 154 articles regroupés en 14 titres divisés eux-mêmes en sections".
Par ailleurs, le CIRSEM, considère que "la démarche est une porte ouverte et un moyen de pression contre le Président Macky Sall élu avec 65,80 % des suffrages valablement exprimés et à qui revient de droit le dernier mot".
A en croire le communiqué reçu à Leral, "le décret n°2013-730 du 28 mai 2013 avait ordonné, entre autres, à la commission nationale de réforme des institutions de mener, selon une étude inclusive et participative, la concertation nationale sur la réforme des institutions et de formuler toutes propositions visant à améliorer le fonctionnement des institutions, à consolider la démocratie, à approfondir l’Etat de droit et à moderniser le régime politique".
Par conséquent, Lassana Sidibné souligne que "le CIRSEM ne cautionne pas la démarche de la CNRI allant dans le sens d’élaborer un avant-projet de constitution qui comporte un préambule et 154 articles regroupés en 14 titres divisés eux-mêmes en sections".
Par ailleurs, le CIRSEM, considère que "la démarche est une porte ouverte et un moyen de pression contre le Président Macky Sall élu avec 65,80 % des suffrages valablement exprimés et à qui revient de droit le dernier mot".