« Mon addiction au sexe a pris le contrôle de ma vie », confie Seyi sur le site du Sun. Cette Anglaise de 35 ans explique avoir touché le fond à cause de sa peur de la solitude. « J’ai perdu ma virginité à l’âge de 13 ans avec mon premier petit ami. Je suis tombée enceinte et j’ai accouché à 14 ans. C’était une période très difficile. »
Ejectée de chez ses parents, la mère célibataire se sent misérable. « J’avais tellement besoin d’affection. » Elle rencontre Paul, 31 ans. « Quand j’ai commencé à coucher avec Paul, j’ai pensé que ce serait la solution et que cela mettrait fin à mon sentiment de solitude. Mais ce n’était pas assez. »
Seyi commence à tromper son copain avec des inconnus rencontrés dans des bars. « J’avais besoin de sexe et après c’était comme un soulagement. Si je n’y arrivais pas, ma confiance en moi plongeait, je me sentais moche et frustrée, j’étais en manque et je voulais du sexe le plus vite possible. » A 19 ans, elle a déjà eu 40 partenaires sexuels. Un chiffre qui va monter jusque 370.
« Entre 22 et 30 ans, ma vie était floue. Je couchais avec cinq ou six types à la fois. J’en rencontrais d’autres chaque semaine. En étant bonne au lit, j’avais l’impression d’avoir de la valeur. Je suis encore tombée enceinte et j’ai avorté. J’ai attrapé le chlamydia à deux reprises. Je ne sais pas comment j’ai fait pour garder mon boulot. J’ai même couché avec un de mes collègues. »
A 31 ans, Seyi regarde un documentaire et comprend qu’elle a un problème. Elle suit un programme pour soigner son addiction. Elle n’a plus eu aucune relation sexuelle depuis août 2009. « Je suis tellement fière de moi. J’ai eu des envies mais je sais reconnaître les signes déclencheurs. Je n’ai pas l’intention de coucher avec quelqu’un prochainement mais je voudrais une relation sérieuse et stable. »
Ejectée de chez ses parents, la mère célibataire se sent misérable. « J’avais tellement besoin d’affection. » Elle rencontre Paul, 31 ans. « Quand j’ai commencé à coucher avec Paul, j’ai pensé que ce serait la solution et que cela mettrait fin à mon sentiment de solitude. Mais ce n’était pas assez. »
Seyi commence à tromper son copain avec des inconnus rencontrés dans des bars. « J’avais besoin de sexe et après c’était comme un soulagement. Si je n’y arrivais pas, ma confiance en moi plongeait, je me sentais moche et frustrée, j’étais en manque et je voulais du sexe le plus vite possible. » A 19 ans, elle a déjà eu 40 partenaires sexuels. Un chiffre qui va monter jusque 370.
« Entre 22 et 30 ans, ma vie était floue. Je couchais avec cinq ou six types à la fois. J’en rencontrais d’autres chaque semaine. En étant bonne au lit, j’avais l’impression d’avoir de la valeur. Je suis encore tombée enceinte et j’ai avorté. J’ai attrapé le chlamydia à deux reprises. Je ne sais pas comment j’ai fait pour garder mon boulot. J’ai même couché avec un de mes collègues. »
A 31 ans, Seyi regarde un documentaire et comprend qu’elle a un problème. Elle suit un programme pour soigner son addiction. Elle n’a plus eu aucune relation sexuelle depuis août 2009. « Je suis tellement fière de moi. J’ai eu des envies mais je sais reconnaître les signes déclencheurs. Je n’ai pas l’intention de coucher avec quelqu’un prochainement mais je voudrais une relation sérieuse et stable. »