Pour un parti "qui reste debout" et qui demeure la "première force politique du pays", il ne saurait être acceptable que le renouvellement des structures et des responsables ne soit pas une priorité, a reproché la Fncl au secrétaire général national du PDS. Aussi, donne-t-elle sa "proposition consistant à la mise en place d'une commission nationale pour la réorganisation" du parti avec une feuille de route claire confinée dans des délais précis" et dont le parachèvement serait la tenue d'un congrès. Dans une déclaration parcourue par EnQuête, les cadres libéraux estiment que cette commission pourrait également avoir comme mission de "repenser" la stratégie actuelle du PDS et son "orientation pour le futur", mais aussi de "revisiter l'offre politique et citoyenne du parti". La "mue" du PDS relève, selon la Fncl, d'une démarche indispensable "en perspective des futures échéances" car il est impérieux de "tirer tous les enseignements des dernières élections présidentielles, législatives et locales". Cependant, La Fncl s'empresse de préciser qu'un congrès du PDS ne devrait se tenir qu'après "la libération des otages".
Les cadres libéraux font allusion au président de la Fédération des cadres libéraux, Abdoul Aziz Diop, en prison depuis plusieurs mois, mais rappellent également qu'Aida Ndiongue, Samuel Sarr et Karim Wade sont eux aussi "séquestrés". A ce propos, la Fncl affirme que, "dans une démocratie sérieuse", le principe de la "reddition des comptes passe par l'audit de la gestion des personnes soupçonnées par les corps de contrôle de l'Etat ou des cabinets privés commis à cet effet". Aussi, considèrent-ils que, sous, cet angle, "ce qui se passe aujourd'hui au Sénégal est une véritable mascarade qui fait honte à tous les démocrates". De ce fait, "demander à Karim Wade de justifier l'origine licite des biens qui lui sont injustement et faussement attribués, c'est tenter (...) de donner une base légale à une condamnation déjà prononcée".
Les cadres libéraux font allusion au président de la Fédération des cadres libéraux, Abdoul Aziz Diop, en prison depuis plusieurs mois, mais rappellent également qu'Aida Ndiongue, Samuel Sarr et Karim Wade sont eux aussi "séquestrés". A ce propos, la Fncl affirme que, "dans une démocratie sérieuse", le principe de la "reddition des comptes passe par l'audit de la gestion des personnes soupçonnées par les corps de contrôle de l'Etat ou des cabinets privés commis à cet effet". Aussi, considèrent-ils que, sous, cet angle, "ce qui se passe aujourd'hui au Sénégal est une véritable mascarade qui fait honte à tous les démocrates". De ce fait, "demander à Karim Wade de justifier l'origine licite des biens qui lui sont injustement et faussement attribués, c'est tenter (...) de donner une base légale à une condamnation déjà prononcée".