Les membres du Conseil constitutionnel peuvent désormais compter sur la CAP 21. En effet, Ibar Der Thiam et ses camarades fustigent les calomnies dont sont victimes la bande à Cheikh Tidiane Diakkahté. « Les membres du Conseil Constitutionnel ne pouvant pas , à cause de leur devoir de réserve, répliquer aux assauts, dont ils sont les victimes, la Conférence des Leaders de la CAP 21 dénonce les mensonges publiés dans la presse, concernant les membres du Conseil Constitutionnel, personnalités d’élite au cursus sans tâche, ayant toujours servi la République avec honneur, dignité et compétence, loyaux vis-à-vis du peuple, respectueux de la Constitution et animés d’une intégrité et d’une impartialité sans faille. », lit-on dans le communiqué reçu à la rédaction par courriel. Qui ajoute, « il est faux de prétendre que chaque membre du Conseil Constitutionnel perçoit un salaire de 2.5 millions de francs par mois et une dotation de 1000 litres de carburant ». « Pourquoi, l’auteur de cette infamie n’apporte-t-il pas les preuves de ses calomnies », se demandent Iba Der Thiam et ses camarades? Répondant à leur propre interrogation, ils indiquent, « il est inadmissible d’exercer des menaces directes ou indirectes sur des « sages », à qui toute la nation devrait témoigner sa reconnaissance. Un homme politique, qui aspire à diriger le Sénégal, se disqualifie définitivement aux yeux de tous les démocrates et patriotes, lorsqu’il articule des menaces ouvertes et publiques contre une institution aussi prestigieuse ».
Iba Der Thia et ses camarades ont aussi jeté des vertes et des pas mûres dans les jardins du M23. « Après l’échec de la réunion tenue par le M23, pour soi-disant invalider la recevabilité de la candidature du Président Abdoulaye WADE à l’élection présidentielle prochaine, les ténors du M23, abandonnés par un peuple qui, par pans entiers, démissionne, jour après jour, de leurs rangs, pour regagner le camp présidentiel, s’échinent à conjurer leurs divisions internes, leurs querelles de leadership et de préséance et à reconstruire leur crédibilité éclatée, en recourant à la violence verbale et au défoulement contre le Conseil Constitutionnel et ses membres, dans une sorte de « ndëp », qui en dit long sur le désarroi profond, qui habite le camp de l’opposition ».
Mais ce qui semble irriter le plus la Cap 21 dans cette affaire, c’est la posture adoptée par la RADDHO. « La RADDHO, en se taisant sur cette violation flagrante des droits humains, en s’en faisant le complice, prouve qu’elle a renoncé à sa mission fondatrice, pour sombrer dans un parti-pris, qui la disqualifie, définitivement, pour jouer un rôle de régulation, à quelque niveau que ce soit, dans le processus électoral en cours », souligne la même missive. Qui précise, « elle a cessé d’être une ONG, pour devenir un véritable parti politique d’opposition, en en adoptant les tares et les avatars ».
B/N
source Sununews.com
Iba Der Thia et ses camarades ont aussi jeté des vertes et des pas mûres dans les jardins du M23. « Après l’échec de la réunion tenue par le M23, pour soi-disant invalider la recevabilité de la candidature du Président Abdoulaye WADE à l’élection présidentielle prochaine, les ténors du M23, abandonnés par un peuple qui, par pans entiers, démissionne, jour après jour, de leurs rangs, pour regagner le camp présidentiel, s’échinent à conjurer leurs divisions internes, leurs querelles de leadership et de préséance et à reconstruire leur crédibilité éclatée, en recourant à la violence verbale et au défoulement contre le Conseil Constitutionnel et ses membres, dans une sorte de « ndëp », qui en dit long sur le désarroi profond, qui habite le camp de l’opposition ».
Mais ce qui semble irriter le plus la Cap 21 dans cette affaire, c’est la posture adoptée par la RADDHO. « La RADDHO, en se taisant sur cette violation flagrante des droits humains, en s’en faisant le complice, prouve qu’elle a renoncé à sa mission fondatrice, pour sombrer dans un parti-pris, qui la disqualifie, définitivement, pour jouer un rôle de régulation, à quelque niveau que ce soit, dans le processus électoral en cours », souligne la même missive. Qui précise, « elle a cessé d’être une ONG, pour devenir un véritable parti politique d’opposition, en en adoptant les tares et les avatars ».
B/N
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