Beaucoup d’entreprises, après quelques années d’activité, vivent des difficultés et pour lesquelles, sans assistance et accompagnement nécessaires, elles entrent en procédure de liquidation judiciaire. Pour amoindrir les dégâts y afférents, le spécialiste des procédures collectives, communément appelé mandataire judiciaire, se doit d’être à la hauteur du contentieux. Et c’est dans ce cadre, que 14 mandataires judiciaires, capacités en procédures collectives, ont réceptionné samedi dernier, leur certificat. Ce cours inaugural portant sur entre autres modules relatifs à l’organisation de la profession de mandataire judiciaire, l’exercice de profession de mandataire judiciaire et le management des aspects techniques des solutions, est le fruit d’un partenariat entre l’Ecole de droit, gestion et économie (Edge) et l’Ordre national des experts du Sénégal (Ones).
Saliou Dièye, expert fiscal et président de l’Ordre national des experts du Sénégal, de préciser que le métier de mandataire judiciaire, devenu incontournable, requiert de la compétence comme être membre de l’Ordre national des experts comptables et comptables agréés (Onecca) ou de l’Ordre national des experts du Sénégal (Ones). Selon le non moins manager judiciaire, il faut être formé sur les techniques qui ont été mises en place par l’Acte uniforme de l’Ohada portant organisation des procédures collectives d’apurement du passif, impliquant nécessairement des acquis en management et des techniques, pour répondre aux besoins du marché.
Aujourd’hui, « le mandataire ou l’avocat n’ayant pas reçu cette formation est automatiquement rejeté par la commission en charge de l’agrément et de la discipline des mandataires. Et sans cet agrément, point de dossier au niveau du tribunal. Et c’est tout le sens de cette formation », a-t-il expliqué.
A l’en croire, des gens créent des sociétés et d’autres les tuent. Et donc, le rôle du mandataire judiciaire, c’est de donner la chance à l’entreprise de vivre par le règlement préventif (procédures collectives), ensuite le règlement judiciaire si besoin en est et enfin, la liquidation des biens au pire des cas de l’entreprise (dépôt de bilan). En clair, dans les deux premières étapes, l’entreprise peut être sauvée. Donc, l’objectif recherché, c’est de doter le mandataire judiciaire de suffisamment de techniques d’entregent et de relations, pour lui permettre de sauver l’entreprise. La présidente du Tribunal de commerce hors classe de Dakar, Aissatou Diémé Diallo, a salué cette initiative de l’Edge et de l’Onecca, visant à doter de compétences les mandataires judiciaires, pour sauver les entreprises en difficulté. Elle a, en outre, encouragé l’Onecca et l’Ones à former leurs membres dans ce sens, pour assister et ainsi minimiser le risque de faillite des entreprises et par ricochet, préserver les emplois.
Source: Sud Quotidien
Saliou Dièye, expert fiscal et président de l’Ordre national des experts du Sénégal, de préciser que le métier de mandataire judiciaire, devenu incontournable, requiert de la compétence comme être membre de l’Ordre national des experts comptables et comptables agréés (Onecca) ou de l’Ordre national des experts du Sénégal (Ones). Selon le non moins manager judiciaire, il faut être formé sur les techniques qui ont été mises en place par l’Acte uniforme de l’Ohada portant organisation des procédures collectives d’apurement du passif, impliquant nécessairement des acquis en management et des techniques, pour répondre aux besoins du marché.
Aujourd’hui, « le mandataire ou l’avocat n’ayant pas reçu cette formation est automatiquement rejeté par la commission en charge de l’agrément et de la discipline des mandataires. Et sans cet agrément, point de dossier au niveau du tribunal. Et c’est tout le sens de cette formation », a-t-il expliqué.
A l’en croire, des gens créent des sociétés et d’autres les tuent. Et donc, le rôle du mandataire judiciaire, c’est de donner la chance à l’entreprise de vivre par le règlement préventif (procédures collectives), ensuite le règlement judiciaire si besoin en est et enfin, la liquidation des biens au pire des cas de l’entreprise (dépôt de bilan). En clair, dans les deux premières étapes, l’entreprise peut être sauvée. Donc, l’objectif recherché, c’est de doter le mandataire judiciaire de suffisamment de techniques d’entregent et de relations, pour lui permettre de sauver l’entreprise. La présidente du Tribunal de commerce hors classe de Dakar, Aissatou Diémé Diallo, a salué cette initiative de l’Edge et de l’Onecca, visant à doter de compétences les mandataires judiciaires, pour sauver les entreprises en difficulté. Elle a, en outre, encouragé l’Onecca et l’Ones à former leurs membres dans ce sens, pour assister et ainsi minimiser le risque de faillite des entreprises et par ricochet, préserver les emplois.
Source: Sud Quotidien