Libération révélait qu’Amsa assurances-vie avait obtenu un contrat d’un milliard de l’IPRES, après une consultation restreinte décriée. Mais ce n’est que la face visible de l’iceberg. La société, propriété de l’homme d’affaires Francois Bakou a aussi signé avec une autre structure publique, un contrat pour une valeur de 12 milliards dont la prime a été fractionnée sur 3 ans. La première a été payée en février 2017 pour une valeur de 2,3 milliards. Ce contrat concerne la gestion des indemnités légales de retraite des salariés de la structure publique.
A côté de ce marché, on retrouve un contrat de retraite qui prévoit le versement par mois de 10% du salaire de chaque salarié de l’entité publique en vue de constituer une épargne pour leur retraite. Les montants qui sont versés à Amsa, chaque année, s’élèvent à plus de 1,8 milliard de franc cfa.
Et comme nous l’écrivons, l’ipres a signé un contrat d’une valeur totale de 1 milliard de francs Cfa pour la gestion de l’indemnité légale de retraite de ses salariés.
L’institut a versé à Amsa la somme de 986 millions en février 2017.
A côté de ce marché, on retrouve un contrat de retraite qui prévoit le versement par mois de 10% du salaire de chaque salarié de l’entité publique en vue de constituer une épargne pour leur retraite. Les montants qui sont versés à Amsa, chaque année, s’élèvent à plus de 1,8 milliard de franc cfa.
Et comme nous l’écrivons, l’ipres a signé un contrat d’une valeur totale de 1 milliard de francs Cfa pour la gestion de l’indemnité légale de retraite de ses salariés.
L’institut a versé à Amsa la somme de 986 millions en février 2017.