Pour sûr, il est des individus qui n’ont pas le sens de l’Histoire. Quand on leur veut un destin d’aigle, ils se révèlent albatros, se traînant, piteux, à même le sol. La grandeur, il est vrai, n’est pas l’apanage de tous. Et ils n’hésitent pas à se perdre dans des querelles d’arrière-garde quand, dans le train de l’Histoire, on voudrait les hisser.
Autant l’esprit chevaleresque voudrait qu’on ne tire pas sur une personne désarmée, autant il est déshonorant de vouloir se gausser d’une personne à laquelle l’occasion de répliquer n’est pas donnée. « A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire », n’est-ce pas ?.
Nous attendions des arguments justifiant qu’il puisse être fait injonction au président de la République de ne pas nommer celui qu’on désigne comme un « frère » mais aussi comme commanditaire d’article. Nous avons attendu en vain. Même pas une ligne pour pourfendre le « le ténébreux journaliste » qui n’a avancé que des arguments et des faits sur lesquels il n’est point besoin de revenir. Et comme, ce coup-ci, le génial écrivain de tout et de rien, sur tout et sur rien, parle en son nom, va pour une thérapie par le rire.
Nous avons beaucoup ri en notre for intérieur de cette fraternité théâtrale qui n’a pas empêché qu’on assimile le « frère » au commanditaire d’un article, donc à un comploteur. Nous avons beaucoup ri parce que, lui, côtoyant ces abysses, ne sait pas que notre plume n’est ni à prêter ni à vendre, mais sert à exprimer des convictions, quitte à se tromper de bonne foi. Nous nous contenterons de rire, ne sachant ni faire la roue ni user de mauvais jeux de mots ni faire des allusions ridicules.
Mais qu’il ne se taise surtout pas ! L’écrivain le plus prolixe de la planète ! L’écrivain dont l’inspiration jaillit dès qu’il presse un stylographe entre le pouce et l’index. Qu’il ne se taise pas, qu’on n’oublie pas son œuvre immense que nous nous garderons de concurrencer mais surtout d’imiter, encore moins de conseiller à quelque lecteur. Certes, nous risquons de ne pas avoir des trophées, y compris féminins, à brandir, mais espérons ne jamais avoir à offrir de la cocasserie voire du burlesque.
Saër Ndiaye
« Ténébreux journaliste »
Autant l’esprit chevaleresque voudrait qu’on ne tire pas sur une personne désarmée, autant il est déshonorant de vouloir se gausser d’une personne à laquelle l’occasion de répliquer n’est pas donnée. « A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire », n’est-ce pas ?.
Nous attendions des arguments justifiant qu’il puisse être fait injonction au président de la République de ne pas nommer celui qu’on désigne comme un « frère » mais aussi comme commanditaire d’article. Nous avons attendu en vain. Même pas une ligne pour pourfendre le « le ténébreux journaliste » qui n’a avancé que des arguments et des faits sur lesquels il n’est point besoin de revenir. Et comme, ce coup-ci, le génial écrivain de tout et de rien, sur tout et sur rien, parle en son nom, va pour une thérapie par le rire.
Nous avons beaucoup ri en notre for intérieur de cette fraternité théâtrale qui n’a pas empêché qu’on assimile le « frère » au commanditaire d’un article, donc à un comploteur. Nous avons beaucoup ri parce que, lui, côtoyant ces abysses, ne sait pas que notre plume n’est ni à prêter ni à vendre, mais sert à exprimer des convictions, quitte à se tromper de bonne foi. Nous nous contenterons de rire, ne sachant ni faire la roue ni user de mauvais jeux de mots ni faire des allusions ridicules.
Mais qu’il ne se taise surtout pas ! L’écrivain le plus prolixe de la planète ! L’écrivain dont l’inspiration jaillit dès qu’il presse un stylographe entre le pouce et l’index. Qu’il ne se taise pas, qu’on n’oublie pas son œuvre immense que nous nous garderons de concurrencer mais surtout d’imiter, encore moins de conseiller à quelque lecteur. Certes, nous risquons de ne pas avoir des trophées, y compris féminins, à brandir, mais espérons ne jamais avoir à offrir de la cocasserie voire du burlesque.
Saër Ndiaye
« Ténébreux journaliste »