« Quand on contraint un peuple à vivre bas, on ne le porte pas à penser haut ». Cette citation d’André Malraux renvoie au cancer qui gangrène l’opposition sénégalaise réunie au sein de cet ensemble hétérogène appelé Benno Siggil Sénégal. Ousmane Tanor Dieng et Moustapha Niasse, pour ne citer que ce duo, responsables actifs de la dégradation de notre économie et de notre système de valeurs, n’ont pas réussi fort heureusement à nous pousser à penser bas. Benno, une troupe de démagogues, insulte à la bouche, calomnie l’Etat, le Pds et foule au pied les principes de la retenue. En quoi, la révision des listes électorales peut-elle créer les conditions d’une fraude. C’est à se mordre de rire à les écouter s’épancher dans la presse, tirant la sonnette d’alarme d’une comédie qui ne les grandit pas. Alors que, le 22 mars 2009, lors des élections locales, cette alliance politique a raflé les plus grandes villes, dont la capitale, avec ce fichier qu’il décrie aujourd’hui. Les sénégalais apprécieront. Et, c’est le lieu de constater, que Benno conscient –tardivement- que Karim Wade et le départ de Wade ne peuvent pas être un programme alternatif contre le Président Wade, se rue dans un autre débat, de caniveau, pour s’épater. Alors, pour authentifier et légitimer tout cela, notre opposition hurle, convoque des fictions sur le processus électoral, quitte à se ridiculiser à la face du monde. Dommage, pour des hommes qui prétendent gouverner ce pays et remplacer un homme de la dimension de Me Abdoulaye Wade. Les représentations diplomatiques apprécieront et constateront le faible niveau des hommes de Benno.
Il faut être vraiment malhonnête de dire que le Président Wade n’a rien fait depuis son accession à la magistrature suprême. Même s’il y a des choses à améliorer et à fustiger, comme toute œuvre humaine, convenons quand même que Me Wade a réalisé des pas de géant. Il a fait plus qu’il avait promis en 2000. Et particulièrement, pour les jeunes et les femmes. Fini les départs volontaires, fini la ségrégation politique à l’université dans la répartition des aides, fini la fracture scolaire avec la case des tout-petits, fini l’ostracisme qui frappait les femmes et les personnes du troisième âge, fini les libertés confisquées, fini les jeunes envoyés à la retraite sans qu’ils aient obtenus un premier emploi, fini les salaires de misères, fini les mascarades électorales, fini la confiscation des libertés individuelles et collectives, fini les casse-tête du transport, fini l’immobilité urbaines, fini la démission de l’Etat sur l’aide aux paysans et la reconstitution du matériel agricole, fini les licences de pêches vendues illicitement, fini les passeports diplomatiques monnayés en espèces sonnantes et trébuchantes, fini…, fini…, fini… La liste peut être kilométrique. Alors de grâce, messieurs de Benno, la cause est entendue. Votre défaite est irréversible en 2012. Votre adversaire, Me Abdoulaye Wade, n’est pas de votre niveau. Et vous n’avez aucun programme à proposer aux sénégalais, si ce n’est que de la raillerie, de la phrase et de la démagogie.
J’ai failli sursauter à entendre, s’égosiller, Landing Savané l’ex leader de And-Jeff, sans trembler, le mensonge à la bouche, à l’emporte pièce, parler de la responsabilité du leader du pds lors de ces événements tragiques. Quelle neurasthénie. Je lui donne rendez-vous prochainement pour témoigner de sa responsabilité entière dans les événements tragiques du 16 février 1994 qui ont occasionné la mort de policiers en service, devant l’école champs de course. Sans oublier, aussi Ousmane Tanor Dieng, à l’époque tout puissant Ministre d’Etat chargé des services présidentiels.
Pape Amadou Gaye Journaliste
Président du Mouvement pour un Sursaut National
Il faut être vraiment malhonnête de dire que le Président Wade n’a rien fait depuis son accession à la magistrature suprême. Même s’il y a des choses à améliorer et à fustiger, comme toute œuvre humaine, convenons quand même que Me Wade a réalisé des pas de géant. Il a fait plus qu’il avait promis en 2000. Et particulièrement, pour les jeunes et les femmes. Fini les départs volontaires, fini la ségrégation politique à l’université dans la répartition des aides, fini la fracture scolaire avec la case des tout-petits, fini l’ostracisme qui frappait les femmes et les personnes du troisième âge, fini les libertés confisquées, fini les jeunes envoyés à la retraite sans qu’ils aient obtenus un premier emploi, fini les salaires de misères, fini les mascarades électorales, fini la confiscation des libertés individuelles et collectives, fini les casse-tête du transport, fini l’immobilité urbaines, fini la démission de l’Etat sur l’aide aux paysans et la reconstitution du matériel agricole, fini les licences de pêches vendues illicitement, fini les passeports diplomatiques monnayés en espèces sonnantes et trébuchantes, fini…, fini…, fini… La liste peut être kilométrique. Alors de grâce, messieurs de Benno, la cause est entendue. Votre défaite est irréversible en 2012. Votre adversaire, Me Abdoulaye Wade, n’est pas de votre niveau. Et vous n’avez aucun programme à proposer aux sénégalais, si ce n’est que de la raillerie, de la phrase et de la démagogie.
J’ai failli sursauter à entendre, s’égosiller, Landing Savané l’ex leader de And-Jeff, sans trembler, le mensonge à la bouche, à l’emporte pièce, parler de la responsabilité du leader du pds lors de ces événements tragiques. Quelle neurasthénie. Je lui donne rendez-vous prochainement pour témoigner de sa responsabilité entière dans les événements tragiques du 16 février 1994 qui ont occasionné la mort de policiers en service, devant l’école champs de course. Sans oublier, aussi Ousmane Tanor Dieng, à l’époque tout puissant Ministre d’Etat chargé des services présidentiels.
Pape Amadou Gaye Journaliste
Président du Mouvement pour un Sursaut National