La Convention Nationale Etat-Employeurs, CNEE, est le dispositif de promotion à charge partagée entre l’Etat et les employeurs du Sénégal, qui permet de réussir ce programme de remise à niveau d’une jeunesse ambitieuse.
Dernièrement, le chef de l’état s’était réjoui des 12 000 emplois déjà créés grâce à cette convention entre l’Etat et les entreprises qui forment et insèrent des milliers de jeunes.
Le Patronat apprécie cette convention et joue son rôle à travers les entreprises qui participent à la formation professionnelle des jeunes et il était intéressant d’aller juger « sur pièce » comment les entreprises prenaient cette convention à leur charge, et comment elles jouaient le rôle qui leur était dévolu.
Ce 14 avril 2022, le ministre de l’Emploi, de la Formation Professionnelle, de l’Apprentissage et de l’Insertion, Dame Diop, a rendu visite à plusieurs entreprises engagées dans cette convention, aux activités diverses allant des Nouvelles Technologies avec la Société « Way To Call », centre d’appels, à l’Entreprise SIPA, spécialisée dans la production de denrées alimentaires, en passant par l’entreprise « FishMed », œuvrant dans la transformation de produits halieutiques.
Le CNP, bras armé de la CNEE
Une fois ces visites effectuées, ayant suscité une grande satisfaction quant à la bonne compréhension de l’importance de la Convention Etat-Employeurs, 33 entreprises, venues de toutes les régions, respectant ainsi l’équité territoriale, ont signé avec le MEPAI, des accords en présence de M. Malick Guèye, représentant le CNP, accords paraphés par le Directeur de l’Emploi, Modou Fall, qui a précisé aux entrepreneurs les conditions d’éligibilité auxquelles ils doivent souscrire, pour mener à l’atteinte des objectifs de cette Convention Nationale Etat-Employeurs.
Ces 33 contrats devront favoriser la création de 1 023 emplois, tous en CDD, et toujours, pour respecter l’esprit de cette convention, il était également important d’en souligner l’équité sociale, puisque l’ASEDEME, qui gère le Centre Aminata Mbaye, a profité de ce dispositif, lui permettant de créer des emplois pour des personnes et des jeunes handicapés.
Les mécanismes qui portent cette convention, doivent être à présent encore renforcés, portés qu’ils sont par le ministère de l’Emploi, de la Formation professionnelle, de l’Apprentissage et de l’Insertion, parce que LE PARI DE L’EMPLOI DES JEUNES EST L’AFFAIRE DE TOUS…ET IL SERA TENU.
Dernièrement, le chef de l’état s’était réjoui des 12 000 emplois déjà créés grâce à cette convention entre l’Etat et les entreprises qui forment et insèrent des milliers de jeunes.
Le Patronat apprécie cette convention et joue son rôle à travers les entreprises qui participent à la formation professionnelle des jeunes et il était intéressant d’aller juger « sur pièce » comment les entreprises prenaient cette convention à leur charge, et comment elles jouaient le rôle qui leur était dévolu.
Ce 14 avril 2022, le ministre de l’Emploi, de la Formation Professionnelle, de l’Apprentissage et de l’Insertion, Dame Diop, a rendu visite à plusieurs entreprises engagées dans cette convention, aux activités diverses allant des Nouvelles Technologies avec la Société « Way To Call », centre d’appels, à l’Entreprise SIPA, spécialisée dans la production de denrées alimentaires, en passant par l’entreprise « FishMed », œuvrant dans la transformation de produits halieutiques.
Le CNP, bras armé de la CNEE
Une fois ces visites effectuées, ayant suscité une grande satisfaction quant à la bonne compréhension de l’importance de la Convention Etat-Employeurs, 33 entreprises, venues de toutes les régions, respectant ainsi l’équité territoriale, ont signé avec le MEPAI, des accords en présence de M. Malick Guèye, représentant le CNP, accords paraphés par le Directeur de l’Emploi, Modou Fall, qui a précisé aux entrepreneurs les conditions d’éligibilité auxquelles ils doivent souscrire, pour mener à l’atteinte des objectifs de cette Convention Nationale Etat-Employeurs.
Ces 33 contrats devront favoriser la création de 1 023 emplois, tous en CDD, et toujours, pour respecter l’esprit de cette convention, il était également important d’en souligner l’équité sociale, puisque l’ASEDEME, qui gère le Centre Aminata Mbaye, a profité de ce dispositif, lui permettant de créer des emplois pour des personnes et des jeunes handicapés.
Les mécanismes qui portent cette convention, doivent être à présent encore renforcés, portés qu’ils sont par le ministère de l’Emploi, de la Formation professionnelle, de l’Apprentissage et de l’Insertion, parce que LE PARI DE L’EMPLOI DES JEUNES EST L’AFFAIRE DE TOUS…ET IL SERA TENU.