43 agents ont été recrutés entre les deux tours de la présidentielle pour les uns, et pour les autres après cette échéance. La majeure partie de ces agents sont des proches de Sitor.
16 agents, tous proches de Sitor dont des membres directs de sa famille, ont bénéficié de reclassement sur la base de nomination, de diplômes douteux ou à titre gracieux avec des passages de grilles indiciaires extraordinaires. A signaler que le décret 2000/103 régissant les personnels administratifs, techniques et de service des universités (PATS) n’autorise plus les reclassements à titre gracieux. L’ancien chef du personnel, qu’a-t-il de plus que les autres cadres du coud pour se faire nommer cumulativement à ses fonctions de chef du service du personnel conseiller technique afin de bénéficier à titre gracieux d’un reclassement dépassant de loin la hiérarchie A ? La Dame J., qu’a-t-elle de plus que les autres femmes du coud au point d’être recrutée, nommée conseillère technique et reclassée le même jour dans la grille indiciaire des conseillers techniques ?
Au niveau du compte 66 112 « Rémunération Personnel Temporaire », la moyenne des crédits engagés par Sitor se chiffre à 115 000 000 par mois. La conséquence est que les disponibilités du compte ne pourront couvrir que jusqu’aux mois de mai et juin 2012. Pendant ce temps, l’Etat du Sénégal à travers la direction générale de l’enseignement supérieur en perspective d’une réforme du secteur, en rapport avec la banque mondiale, a requis les services d’un cabinet pour auditer le coud. Personne n’est en mesure de dire les conséquences de cette réforme si on ne met pas fin à certaines dérives dans la gestion.
Sitor a déclaré que sa gestion a fait à deux reprises l’objet d’audit et que rien n’a été trouvé. C’est l’occasion de démentir de telles allégations. Dans un premier temps c’est l’IGE qui est passée mais elle ne s’est limitée qu’au volet des ressources humaines au niveau duquel des manquements ont été relevés. Ensuite, c’est autour de la cour des comptes de passer au peigne fin la gestion financière proprement dite de Sitor. A ce jour, le rapport n’est pas encore sorti. Comme c’est en instance, on n’en parle pas. Les agents du coud et les sénégalais verront et apprécieront. Devant ces faits graves relevés, chaque agent du coud est mis face à ses responsabilités. Les syndicats, les délégués du personnel, les cadres et les étudiants sont aussi mis face à leurs responsabilités. Des actes de mauvaises gestions se dénoncent et doivent être sanctionnés à la mesure de leur gravité. Des actes de bonnes gestions méritent des encouragements et un soutien à la mesure de l’engagement de l’autorité.
Pour que nul n’en ignore…
Fait à Dakar et au COUD, le 6/06/2012
Bara Ndiaye journaliste
Rue 13 x 24 Médina-Dakar Sénégal
Tel 00221779356018
00221776863030
Skype: bara.ndiaye87
16 agents, tous proches de Sitor dont des membres directs de sa famille, ont bénéficié de reclassement sur la base de nomination, de diplômes douteux ou à titre gracieux avec des passages de grilles indiciaires extraordinaires. A signaler que le décret 2000/103 régissant les personnels administratifs, techniques et de service des universités (PATS) n’autorise plus les reclassements à titre gracieux. L’ancien chef du personnel, qu’a-t-il de plus que les autres cadres du coud pour se faire nommer cumulativement à ses fonctions de chef du service du personnel conseiller technique afin de bénéficier à titre gracieux d’un reclassement dépassant de loin la hiérarchie A ? La Dame J., qu’a-t-elle de plus que les autres femmes du coud au point d’être recrutée, nommée conseillère technique et reclassée le même jour dans la grille indiciaire des conseillers techniques ?
Au niveau du compte 66 112 « Rémunération Personnel Temporaire », la moyenne des crédits engagés par Sitor se chiffre à 115 000 000 par mois. La conséquence est que les disponibilités du compte ne pourront couvrir que jusqu’aux mois de mai et juin 2012. Pendant ce temps, l’Etat du Sénégal à travers la direction générale de l’enseignement supérieur en perspective d’une réforme du secteur, en rapport avec la banque mondiale, a requis les services d’un cabinet pour auditer le coud. Personne n’est en mesure de dire les conséquences de cette réforme si on ne met pas fin à certaines dérives dans la gestion.
Sitor a déclaré que sa gestion a fait à deux reprises l’objet d’audit et que rien n’a été trouvé. C’est l’occasion de démentir de telles allégations. Dans un premier temps c’est l’IGE qui est passée mais elle ne s’est limitée qu’au volet des ressources humaines au niveau duquel des manquements ont été relevés. Ensuite, c’est autour de la cour des comptes de passer au peigne fin la gestion financière proprement dite de Sitor. A ce jour, le rapport n’est pas encore sorti. Comme c’est en instance, on n’en parle pas. Les agents du coud et les sénégalais verront et apprécieront. Devant ces faits graves relevés, chaque agent du coud est mis face à ses responsabilités. Les syndicats, les délégués du personnel, les cadres et les étudiants sont aussi mis face à leurs responsabilités. Des actes de mauvaises gestions se dénoncent et doivent être sanctionnés à la mesure de leur gravité. Des actes de bonnes gestions méritent des encouragements et un soutien à la mesure de l’engagement de l’autorité.
Pour que nul n’en ignore…
Fait à Dakar et au COUD, le 6/06/2012
Bara Ndiaye journaliste
Rue 13 x 24 Médina-Dakar Sénégal
Tel 00221779356018
00221776863030
Skype: bara.ndiaye87